ONIRIS et sa communauté de bénévoles a bien voulu publier ce poème, que je repris d'une première version « maladroite « refusée en 2013 . Que tout le monde en soit vivement remercié!

J'étais loin de mon clavier quand parut ma « cibiche « et n'ai pu suivre les éventuels débats, que l'on vient de me faire remarquer. Je les parcoure, et constate que le sujet a fait des étincelles! Mais pas celles d'une bombe, plutôt celles qui crépitent sur sur un gâteau d'anniversaire; car bien qu'animés, enflammés, les débats restèrent courtois et l'on ne sombra point dans la vulgarité. J'en suis content.

Robot; même si elle tue la cibiche, je reste son ami, car elle m'a soigné des maux qu'un remède ne guérit pas. J'ai donc osé « je suis ton ami cigarette «. Te sachant non-fumeur, j'apprécie qu'à travers mes volutes, tu aies reconnu un poème plaisant.

Lulu; «cibiche» tout comme «tige de huit» fait partie des mots qualifiant la cigarette en argot. Malgré le sujet détestable, vous n'avez pas haï mon poème, merci

lala; je dirais plutôt « histoire ordinaire d'un fumeur peu ordinaire «? Merci

jaseh; ah, nostalgie du temps où rien ne nous inqiète. On fait le malin, en tirant sur cette cloppe qui, arrache la «gueu...» , mais faut être à la hauteur deavant les autres! Sûr qu'elle n'était pas assez mauvaise, sinon on n'aurait pas insisté! Mais avec mes 3, 4 gauloises par jour, ce défaut reste un moment raisonnable à mon avis? Merci d'avoir apprécié.

Leni; effectivement, comme vous je pense à cette dernière cigarette que le condamné fuma avant que la «veuve» ne couvre de sang son «pullover rouge». Vos compliments me touchent.

Hananke; vous aimez bien chacun de mes textes et ma «cibiche» en fait partie, mais il y a toujours ce bémol des rimes forcées; qu'est-ce donc hormis, «pauvre, suffisante, riche «? parviendrai-je un jour à gagner votre assentiment? Merci à vous;

Francis; elle en a rempli des moments de vide, appaisé comme pour toi bien des angoisses. Mais aussi régalé comme un chocolat qu'on savoure. Tu as parfaitement décodé «l'énigma» de mon poème. Merci

PIZZICATO;mon «addiction» est une amie qui me convie le soir seulement, et nous nous partageons, le nez au ciel. Merci

tizef;tu as senti, malgré l'odeur repoussante du tabac froid, une malice dans mon poème un brin culotté; un jour je versifirai sur la pipe de St Claude de mon Jura; merci

cervantes; vous avez eu du mal à commenter un poème dont le sujet tue; je vous comprends et apprécie que vous n'ayez pas occi l'auteur; merci

leopoldPartisan; je suis agréablement surpris que mon poème vous ait plu. Mon beau-père fumait, allant même jusqu'à ramasser les mégots pour en faire une cigarette de fortune! Et pourtant, aucun de ses 3 enfants jamais ne fuma! Merci (merci aussi pour le poème annexé)

Fabien; votre petite ligne est plutôt sympa pour dire que vous n'avez guère été emporté!

Pivoine; mes vers vous font mal chère Maman, je comprends; pourtant vous aimez ma lucidité, merci

Mauron; je flirte avec Satan, mais le repousse s'il m'envahit! Mon café est «armé», car à lui de bon matin, je ne résiste point! Merci

Wall-E j'aurais préféré courir un 100 m, jouer au foot au lieu de m'user en nicotine. Mais la nature m'a «baclé» et sans muscle, je ne pus prétendre aux bienfaits du sport! Promis, dans une autre vie, si on me tend une cigarette, je colle aux basques d'Hussain Bolt! Merci

Curwwod; le nuage de fumée de ma «cibiche» ne vous a pas empéché de voir en elle, un poème soigné dans la forme, et touchant de sincérité. Merci beaucoup

Alexandre; comme moi, la cigarette t'a aidé à traverser certaines périodes difficiles; mon poème selon toi, est même bien roulé comme le gris que l'on prend dans ses doigts. Merci au sonnettiste.

Automnale; on peut m'offrir une cigarette quand ce n'est pas l'heure, je ne la prendrai pas. Et je n'en offre jamais! Le passage «chaque prise telle cartouche» m'a été dicté par l'octosyllabe. Merci

ameliamo; vous avez lu un charmant poème sur une «chose», qui hélas peut mener à l'hopital en oncologie, oui.

Mona79;addiction tabagique, alcoolique, mais il y a hélas des «non-addictes» qui abusent de méchanceté, et elle ne tue pas! Mon poème vous a plu, merci à vous

in-flight; je suis arrivé à vous «cultiver» modestement avec mon «Nicot», cet embassadeur français qui fit découvrir le tabac à la cour du roi. En plus, mes vers vous ont séduit; j'en suis fort aise.

Angelina; je suis arrivé à confesser un mauvais penchant, en usant d'une touche d'humour, dans mon poème que vous avez aimé, merci

OH2Warenghien; vous avez aimé une poésie identifiable à travers un classique fluide, quand bien même le thème fut assassin! Merci

Vincendix; vous êtes un «ex», un repenti en quelque sorte, mais déplorez que les accros soient devenus des parias. Vous avez bien compris le sens et aimé mon poème, merci

Papipoète, je te prends au mot, tu dois nous pondre un poème sur un titre tout trouvé : "La pipe à Papipoète"

Quand même pas d'Usain Bolt...

Juste un peu de sport quotidien et tout baigne !

Wall-E