Mauron :

j'aurais pu en effet commencer autrement.
Merci pour votre regard avisé.

Jaseh :

Rarement j'ai lu un commentaire qui me touche autant, qui va bien plus loin que le texte proposé, et qui cerne plutôt avec justesse la démarche qui est la mienne.

cervantes :

En somme, et sans douter, vous en voulez à ce texte de ne pas le comprendre, ce qui me semble hautement surréaliste.
Or celui-ci est composé de mots d'une simplicité enfantine, et parsemé d'images candides, espiègles, et presque naïves.
Devais-je user d'onomatopées ?
Je ne tiendrai, naturellement, aucun compte de vos remarques sur le chemin d'écriture que je reprends, et vous laisse au passage la salière remplie de points, de virgules, de majuscules, et je ne sais quoi d'autre, et que vous saurez, j'en suis sûr, saupoudrer sur vos textes.
Merci.

corbivan :

oui, je prends souvent des choses très ordinaires, auxquelles, le temps d'un poème, je mène la vie rude, en espérant qu'il en découle un peu d'émotions.
Merci pour ta lecture.


ameliamo :

Merci pour votre appréciation, et le 'vraiment libre'.


Bleuterre :

Ah si vous saviez (et permettez-moi l'expression), la pêche que me donne ce que vous dites.
Il me la donne avec le bleu au-dessus qui va la faire mûrir, il me la donne avec l'arbre qui la porte, et la terre, en dessous, qui nourrit tout.
Merci infiniment Bleuterre

Wall-E :

Merci beaucoup d'exprimer avec autant de simplicité et de sincérité, votre ressenti