Bonjour à tous

Après une semaine à voguer sur la grande bleue (qui n'était guère bleue d'ailleurs) loin de tout instrument informatique, me voici
revenu devant l'écran de ma cellule.
Un grand merci, comme de coutume, au C.E. d'Oniris d'avoir
accepté ce texte, témoin d'une partie de mon enfance qui me
tenait à coeur. Aux lecteurs et commentateurs qui s'y sont attardés.

Je suis né d'un père jurassien et d'une mère berrichonne. Ce qui fait que j'ai partagé mes vacances scolaires entre La Vieille Loye où
mes grands-parents paternels finirent leur vie comme régisseur
au château de la Verrerie dont parle Bernard Clavel dans son roman Marie Bon pain et La Guerche sur l'Aubois, petite bourgade du Cher.

Ces vacances aux "culs des vaches" de la ferme d'à coté restent
malgré plus de 50 années écoulées inoubliables.

Sur le texte lui-même, le les des vaches sera bien sûr remplacé
par un des plus approprié.

Je remercierai les divers commentateurs en M.P.

Bonne journée.

P.S. : je reprendrai mes commentaires lorsque j'aurai
définitivement débarqué.

H

Bonjour et merci chimen de votre passage même tardif
sur ce texte qui est l'un de mes préférés.

Je me souviens pour l'histoire d'agraire que j'avais suivi
mon dictionnaire de synonimes qui m'avait conduit à ce mot
en partant de sylvestre :

sylvestre... agreste...agraire.

En attendant de vous lire, je vous souhaite une bonne journée.

H

Oui, Hananke, les dictionnaires de synonymes sont assez généreux et c’était juste une histoire agricole pour une rime sylvicole. En tous cas j’ai adoré le Jura. Je vais poursuivre votre fil ce soir, j’ai entraperçu une autre perle.