Chers lecteurs et commentateurs,

A la place d'un long discours
Laissez-moi vous dire toujours :
Merci pour vos bouquets de prose
Sur mon poème "Si la rose" ;

Papipoète, et sieur Damy,
Pizzicato, Phoebus, Léni,
Tizef, Francis, Mona, Cervantes,
Alexandre, Automnale, Hananke,
Arielle et puis Cendremon,
Vincendix et: oh! Jfmoods !

Merci aux membres en coulisse
Qui permirent que s'immisce
Sur Oniris cet humble écrit
Car rien ne me l'avait prédit.

Respects à Maître Ronsard Pierre
Pour qui je fais une prière.
Ô puisse-t-il me pardonner,
L'absolution me donner...

Encore un grand merci à tous d'avoir pris sur votre temps pour lire et commenter ce madrigal. Vos appréciations sont pour ma plume un vrai régal.

Cristale

L'énumération de noms me fait penser à un plan de table... Pour un dîner fleuri et très poétique. Merci de nous avoir invités, chère Cristale... Et de m'avoir placée entre Alexandre et Hananke... Cela me va très bien... Nous allons bien nous amuser !

Automnale

merci Ma chère Automnale, votre idée de plan de table m'amuse beaucoup mais les convives sont placés de façon prosodique, donc avec un plan qui essaie de répondre aux exigences
de la poésie, ici plutôt néo-classique-contemporaine :), j'ai eu du mal, la table étant octogonale et les seize noms présentaient des rimes aux assonances aléatoires.
Je suis ravie que le hasard vous ait choisi des compagnons qui vous conviennent.
Et comme je le dis souvent, soyons sérieux, mais pas trop !
Cristale

Merci Cristale de mon placement, j'adore l'automne !

H

Alors tout va bien

Merci Hananke

Grâce à Cristale qui a eu l'excellente idée de nous inviter à dîner et de judicieusement nous placer à table, je vais me débrouiller pour enfin connaître la signification de "Hananke"... En Bretagne, cela ne se dit pas souvent...

Automnale

Ananké ou Ananke prénom breton qui signifie "lune" dans la mythologie, je n'en sais pas plus...

Sans remonter jusqu'à l'Antiquité, je viens de trouver ceci sur le Web. Puisque nous sommes sur un site littéraire, je le copie/colle :

Beaucoup plus récemment, c’est avec Victor Hugo qu’anankê trouve une éminente place dans la littérature française, puisque c’est après avoir vu, lu un “anankê” graffiti/graffité sur les murs de la cathédrale Notre-Dame que le grand homme écrivit le roman, la tragédie “Notre Dame de Paris”. Victor Hugo emploie même le vocable tel quel dans plusieurs œuvres ; par exemple le poème “Bon conseil aux amants” commence par ces mots :
———« l’amour fut de tout temps un bien rude anankê».
Ou encore dans “Au cheval” :
———« Brise anankê, ce lourd couvercle,
———sous qui, tristes, nous étouffons».

dans mon jardin est une rose, rouge à vrai dire, qui se languit; ses soeurs fanées pendent tristement au bout de leur tige. Elle ferait le meilleur effet sur la table de vos invités.
Cet après-midi, sous le soleil de cet été indien, j'irai la voir, la humer avant que ce soir, je ne la trouve déclose.
Bien à Vous chère Cristale, Papipoète

Oh ! que c'est beau !

Merci Papipoète pour tant de délicatesse