Merci à ONIRIS de m'avoir à nouveau publié, et j'en suis d'autant plus content, que j'ai failli disparaître de votre «famille» dernièrement! Je suis heureux de pouvoir à nouveau, montrer mon ouvrage;
Je remercie sincèrement, Vincendix, Iloa, Mauron, Leni, Hananke, banni, Arielle, Alexandre, Robot, Francis, PIZZICATO, lala, et Automnale, pour leur lecture attentive, et leur commentaire réconfortant;
A part «l'amazone», jupe longue et non «cavalière» rose, vous avez sur lire que je ne croyais guère en mes chances, en apercevant au loin, s'avancer cette Vénus; que ce ne puisse être la femme avec qui j'avais rendez-vous! ( comme je croyais que la «maritorne» du récit précédent, passerait sans marquer le pas )!
Automnale a vu mon poème, comme si ce jour-là ( en 1989 ), elle était ma «caméra cachée» qui me suivait pas à pas! Ses compliments me comblent d'aise!
Pour ce qui est de la qualité, on pourrait me comparer à un maçon qui sait monter un mur bien droit, au cordeau, mais dont les pierres sont un peu biscornues. Cette notion s'appelle le talent, que l'on a, ou pas...
Cher Pouet, vous n'avez pas aimé ma «gérardine», mais vous me le dîtes si gentiment, que je n'en suis pas peiné.
Encore merci à tout le monde.
NB cela fait 26 ans que «son oeil se posa sur moi», et je remercie le ciel de m'avoir exhaussé!

Bonjour papipoete... J'aime beaucoup ta comparaison avec le maçon. C'est vrai, tes murs sont au cordeau, les matériaux utilisés de qualité et certifiés authentiques, ton ardeur au travail sans faille. Reste parfois à mieux talocher le crépi comme c'est le cas pour chacun d'entre nous à un moment ou à un autre... mais la vie n'est-elle pas faite de hauts et de bas ?
L'important est que cette gérardine vienne couronner 26 années de bonheur partagé... Tout le reste n'est que littérature et crois-moi je sais de quoi je parle !

Salut et à la prochaine...

Oui, oui, cher Papipoète, j'étais bien là, en 1989, avec ma caméra cachée ! Vous vous étiez fait aussi beau que lors de votre rencontre avec la maritorne ! Plus beau, même, car votre œil pétillait !

Je vous souhaite encore au moins 26 ans supplémentaires de bonheur avec votre dame brune au manteau rouge... Que de poèmes, pendant tout ce temps, vous allez, pour nous, écrire ! Car, bien entendu, nous voulons tout savoir de vous et de la dame, que je salue au passage...

Automnale