Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





remerciement "je suis vous et tellement moi"
Onirien Confirmé
Inscrit:
28/11/2015 08:09
Groupe :
Évaluateurs
Membres Oniris
Auteurs
Post(s): 956
Hors Ligne
Merci, Corbivan, pour la lecture de ce texte, que vous dites avoir aimé un peu, Mais je ne sais pas où situer ce peu ; Le narrateur dit « Je suis vous et tellement moi » c’est différent de ce que vous auriez aimé. Francis en donne la raison – Vous ne comprenez pas, en plus vous ne trouvez pas cela « joli », vous trouvez ceux de l’avant dernier groupe plus relevés, alors que c’est la partie la plus faible du texte, alors qu’aimez-vous un peu ? Je vous renvoi aux commentaires de de Francis et Ramana qui me semble très sensé. Merci encore. - Quant à l’incipit c’est un anagramme, (assez facile), il n’y a aucun message, et quand à la parodie de dieu..non..non.

Merci à Pizzicato, qui malgré ses efforts n’apprécie pas du tout ce texte, à votre question : à qui vous adressez-vous ? le narrateur répond :: « à vous »

Merci à Francis pour cette étude, très juste. A votre grande question, « Qu’aurais-je été en 1940 ? » vous la poser est déjà une bonne réponse.

Merci à Lulu, pour sa persévérance, et pour son ressenti. Mais taxer mon texte de « beau message d’amour de l’humanité » c’est prêter à l’auteur le nom de « beau Merle » Vous avez raison mon avant dernière strophe est bien faible.

Ramana, merci, en vous lisant j’ai ressenti chez vous quelque que chose de joyeux, de léger, de presque soumis, avec discernement et esprit, vous trouvez les bonnes réponses aux mauvaises questions, ou vice versa, mais qu’importe, l’important c’est d’aimer.
Attention à trop le citer,... même d’humour…

Contribution du : 14/02/2016 17:34
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : remerciement "je suis vous et tellement moi"
Visiteur 
Bonsoir Bouloche.
Merci pour la réponse à ma question.
Par contre, j'ai beau relire mon commentaire, je ne vois pas apparaître le << n'apprécie pas du tout >> mais : '' c'est le flou " ; il y a quand même une nuance , ne trouvez-vous pas ?
Bonne soirée.

Contribution du : 14/02/2016 20:03
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : remerciement "je suis vous et tellement moi"
Onirien Confirmé
Inscrit:
28/11/2015 08:09
Groupe :
Évaluateurs
Membres Oniris
Auteurs
Post(s): 956
Hors Ligne
bonjour pizzicato
bien sûr, c'est une grosse erreur de ma part, ce "flou" au contraire
prouve votre bonne volonté à comprendre ce texte,
bonne journée

Contribution du : 15/02/2016 09:11
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : remerciement "je suis vous et tellement moi"
Visiteur 
Bonjour Bouloche,


Pour situer le "peu" qui est mon évaluation, c’est-à-dire une estimation moyenne entre mon incompréhension, ma compréhension différente (j’y reviens) et les quelques vers qui m’ont plu, et ce n’est pas évident d’évaluer… soit, et je m’explique un peu.

Pour le titre, vous enchaînez le vous : "je suis vous" et le moi, "et tellement moi", or il me semble que cet ordre-là met l’accent sur le moi et pas sur le vous.
Si vous voulez exprimer une espèce d’universalisme ou d’humanisme, débordant bien que clairvoyant, il me semble que la démarche d’un individu adulte passe par la conscience de sa propre personne avant la découverte (consciente) éventuelle de ce qui le relie aux autres (tous les autres) et de ce que l’on peut nommer l’interdépendance.
Je crois que ce n’est qu’au terme d’un chemin qui va du moi vers le nous qu’on va du particulier vers l’universel mais aller dans l’autre sens me semble illogique (et réducteur).

Pour le 'pas joli' c’est d'abord affaire de goût, et en effet des expressions me heurte dans votre poème, par exemple une expression comme : "Enivré de vos corps et saoul des terres, chairs et paroles'…me fait un effet de grandiloquence déplacée, et de rudesse aussi, c’est pourquoi je me suis posé la question du démiurge…et je ne suis pas le seul parmi vos commentateurs d’ailleurs, même parmi ceux qui sont sensés.

Quant à l’incipit vous dites que c’est une anagramme assez simple…et je n’ai toujours pas saisi, je suis décidément pas doué pour ce genre de truc.

Alors ce que j’ai apprécié ce sont les vers suivants :

"cette image du néant, de rien du tout,
toujours pesante qui colle légère
Comme l’aile à l’ange"

Quoiqu’en relisant "l’aile à l’ange' j’aime moins (le son), soit, disons que ce qui me plaît c’est cette image du néant, à la fois pesante et légère – je comprends : inéluctable, obsédante et insensible (quasi-mécanique) image de la mort.

Cordialement

Corbivan

Contribution du : 15/02/2016 10:30
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : remerciement "je suis vous et tellement moi"
Onirien Confirmé
Inscrit:
28/11/2015 08:09
Groupe :
Évaluateurs
Membres Oniris
Auteurs
Post(s): 956
Hors Ligne
Bonjour Corbivan et merci pour l'intérêt porté à ce texte

"Enivré de vos corps et saoul des terres, chairs et paroles'
Avec un pseudo pareil je m'étonne que vous soyez choqué par la rudesse de cette expression, il y a de la rudesse, sûr, de la grandiloquence (dosée), mais il ne faut pas être tiède, non ? Nous sommes aussi produit de la terre, faits de chair et de sang (dont le Corbivan se repait non ?, ainsi que le vautour, je fais plus dans le retable d’Issenheim, que dans l’impressionnisme (je ne porte aucun jugement, croyez.le). Merci de me lire, bonne journée

Contribution du : 15/02/2016 11:26
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant





Oniris Copyright © 2007-2023