Merci pour vos commentaires, venant comme autant de pétales recouvrir mon crâne dégarni, lui instillant comme par capillarité quelques fondements poétiques jusqu'alors ignorés.
Ravi que ce poème vous ait plu, c'est ma première triple plume (une pour chaque aile et la troisième pour la queue, je suis sur le point de tenter un premier vol !).
Wall-E, mon "oui certes !" était là aussi bien pour la rime que pour l'effet que j'ai voulu en tirer, mais je conçois qu'il puisse accrocher à la lecture, ou n'avoir pas de résonance dans votre entendement, le mien n'étant pas universel.
Alexandre, le poème peut effectivement être cohérent selon votre proposition de réécriture. Vous confessez ne pas être un rêveur, alors que je suis sûr, moi, que la vie n'est qu'un rêve ; c'est sûrement pour cela que nous n'avons pas le même regard et que votre proposition me frustrerait si je vous suivais.
Vincendix, StayinOliv, Pouet, promis je vais travailler ma fluidité jusqu'à m'approcher dangereusement de la limite du stade d'évaporation s'il le faut.
Corbivan, votre référence à la Tradition vous fait entrer dans notre monde commun. J'essaie bien évidemment de relater à travers mes écrits non pas la vacuité elle-même, qui n'est pas exprimable, mais ce que je crois percevoir du chemin qui y conduit, de sa noblesse et de sa beauté. Le paradoxe de la condition humaine tel que vous le décrivez est réel de notre point de vue relatif, mais il n'est pas de paradoxe qui ne sera résolu.
Merci également à Iloa, Hananke, Robot, Sofi, Françis, Lulu, Leni, pour vos commentaires encourageants.