Bonjour Henriette,

J'ai lu vos 2 commentaires récents sur "aller simple" et je vous remercie du temps passé et de vos avis favorables.
Pour être précise, c'est sur la femme que tire le voyageur, une femme aimée. Il n'y a ni suicide ni parabole (en tout cas dans ma tête), c'est bien sûr moins romantique mais tellement plus proche de la folie qui le caractérise.
Merci encore et belle journée;)

Bonjour Leverbal,

Je n'aime pas trop faire remonter mes textes mais vous venez d'arriver et votre "pas" et son commentaire sur ce texte sont une entrée en matière intéressante et c'est tant mieux.

Cet "Aller simple" dont vous n'aimez rien (et vous n'êtes pas le seul) est le récit court d'une pulsion qui n'est ni un attentat, ni le remake de l'Etranger, mais l'histoire précise d'un passage à l'acte, un homme tue dans un train une femme qu'il connaît et que sans doute il aime (cela semble mièvre tout comme la douleur qui le submerge à sa vue).

Le vocabulaire est extrêmement précis. Le texte raconte les quelques instants qui précèdent cet acte dont l'explication n'est pas écrite puisque ce n'est pas le sujet.

Je me souviens de cette première publication et des commentaires pour certains très critiques, voire limites; j'en avais conçu une certaine déception, sans doute un léger froissement de l'égo..bref la routine. Le tout de manière très brève.

Je l'ai relu (merci) et je n'y changerai rien, il me convient tel que je l'ai écrit, peut être une ou deux virgules ici et là..

Un grand merci d'avoir choisi mon chez-moi pour ces premiers commentaires très critiques.

Belle journée

Vendularge

Je viens de me rendre compte qu'on pouvait laisser des commentaires aux textes sans avoir à choisir combien de pétales on enlève à la marguerite virtuelle !
C'est tellement réducteur ce principe du j'aime/j'aime pas...
Par exemple, sur "Aller simple", j'aime le sujet traité, et aussi le fait de ne rien dire de ce qui se passe après.
En revanche sur la forme et sur la construction littéraire, j'ai eu de la peine de voir ce texte un peu en souffrance.
Lorsque ni le fond ni la forme ne m'intéressent, en général je passe mon chemin sans m'arrêter.
Mais là il y a quelque chose à faire ! Alors je me lance. Si je ne suis d'aucune aide, tant pis, au moins j'aurai essayé ;-)