Merci au CE d’avoir permit la publication de ce poème, et merci aux correctrices et commentateurs :

MissNeko, Vincente, FABIO, plumette, Robot, PIZZICATO, leni, Johannes et Lulu.

Certains d’entre vous ont trouvé des longueurs, où trop de longueur, je ne sais que dire, sans doute est-ce vrai, mais ne dit-on pas que quand on aime on ne compte pas ?

Un air de liste pour Fabio, c’est peut-être une façon de lire.

Robot bute à l’élocution sur : « Ce que je ne sais qui m’émerveille. » je note, mais pour ma part je ne bute pas du tout dessus, en même temps je fais une petite pause avant le “qui”…

Johannes ne comprend pas : « Ce que je ne sais qui m’émerveille », en fait je veux dire par là « ce qui m’échappe dans la féminité et qui est comme une dimension particulière du don de soi, ça me dépasse (n’étant qu’un homme) mais j’admire cette dimension… est-ce plus clair ?
Ensuite, Johannes, vous dites " beaucoup de bavardages, de déclarations d’amour sans aucun doute sincères, mais néanmoins banales et sans portée poétique.
Or la poésie, me semble-t-il, devrait être par excellence un langage dense. »

Là je ne vois rien à dire, pour ma défense, car je trouve ce poème éminemment poétique, et en l’écrivant j’étais au taquet, à mon maximum de poétisation possible…donc tant pis.


Enfin Vincente, qui je crois a “marché” le mieux à mon ode à celle qui est. Ton analyse m’éclaire d’ailleurs moi-même sur ce que j’ai voulu faire en écrivant ce poème qui date de quelques années. Et tu trouves des redondances, du temps surtout, c'est vrai, il y en a.

Donc, en résumé, je ne changerai pas un mot, déjà que je l’avais un peu épuré pour le proposer sur Oniris, et je ne retrancherai pas un mot non plus.

En même temps si vous la connaissiez, vous comprendriez...cette profusion de compliments..mais pas que.
Juste une information, si j'évoque le 'don de toi aux mourrants' c'est parce qu'Elle a travaillé en soins palliatifs pendant quelques années...voilà, un coin du voile est levé...

Un truc qui m’a un peu déçu, je vous avoue, c’est le peu de lectures (c’est relatif bien sûr, et je dis bien lectures) de ce poème-ci…ça me laisse perplexe.
Je suppose que certains auteurs ont un lectorat. Le bouche à oreille peut-être aussi y fait quelque chose. Mais je m’interroge. Et j’ai pas de réponse, même pas l’ombre d’une.

Encore merci à ceux qui ont pris la peine de me laisser un mot.

Et à plus, si Dieu le veut.

Corbivan

Citation :

Bonjour Corbivan

Faut arrêter la parano. Vous êtes publié et avez reçu dix commentaires ça va. Les lecteurs ont droit de ne pas lire et commenter tous les textes publiés chaque jour. Vous le faites vous?

Slt corbivan,

Pour ma part j'ai lu ton poème sans le commenter car il y a beaucoup de choses et ne savais pas trop quoi dire en fait. J'ai trouvé l'ensemble un brin chargé, peut-être aussi un peu grandiloquent mais bon l'amuuur le vaut bien hein...

A plus

Citation :

Ben oui à plus, Il le veut bien je le sais, demande à leni, tu verras je déconne pas...

Bonjour Brume,

parano je ne crois pas l'être, mais je fais juste un constat, sur ce texte-ci.
Et quant à la question de savoir si je lis et commente tout ce qui est publié, la réponse est (en poésie) : je lis tout, et commente ce qui me plaît, ou déplaît, particulièrement.

A plus donc, puisque Pouet le dit (je ne vais pas déranger Leni avec Dieu, il a sûrement assez à faire sans ça, et mieux que ça).



Corbi

Je comprends qu"après avoir penché sa plume de longs moments, on espère que le plus grands nombre lira, mais vous avais été commenté plus que certains.A l'époque ou j'ai publié sur Oniris, je n'avais pas autant de commentaires.
Surement par manque de talent....lol.....quoi que....

vous avez été.............désolé grosse faute, pas bien
coup de régle sur les doigts bien fait

@Fabio, oui, vous avez raison et Brume aussi sur ce point, car pour ce qui est des commentaires je m’estime assez bien loti, et tous apportent un point de vue intéressant, je parlais du nombre de lectures. C’est pas grave du tout d’ailleurs, depuis que je l’ai exprimé en public, et que je suis allé cultiver mon jardin, je me sens requinqué mentalement et claqué physiquement.
Comme quoi vider un peu son sac, c’est bien. Au moins ça soulage.
Et transpirer aussi .

Citation :

Bien sûr, ce n'était qu'une petite blagounette que leni comprendra s'il lit ce forum...

@MonsieurF : merci de ton commentaire. Question chaussettes sales, et le reste…je me demande combien de machines représentent 30 ans de vie commune…avec 3 enfants, les chats, les chiens… à une machine par jour environ 10950…et mon poème ne fait que 3263 caractères donc je suis en reste…et redevable toujours…

A+

@Alcirion : merci de ton commentaire. Pour la longueur voir plus haut 
Pour les sonorités râpeuses (ou rappeuses ?), tu veux dire à l’élocution je suppose (de : « ils se prosterneraient" ?), dans le vers que tu cites.

A+