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1 Utilisateur(s) anonymes
Merci pour mes "fils du vent" |
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Visiteur
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Merci à vous, chers membres du Comité d’Edition, aux correcteurs, aux membres de l’E.L, d’avoir pris le temps de lire, ou plutôt de relire ce texte et de le publier. Merci en tous cas pour ce premier refus, ce qui m’a permis de me ressaisir, de reprendre ce texte que je croyais évidemment parfait (ah, l’Ego et ses peines…), et enfin de vous le proposer plus sérieusement fouillé. Merci à vous tous, chers commentateurs, pour vos petits messages sympathiques et toujours très enrichissants. Vos avis et vos appréciations me vont droit au cœur car je ne pensais vraiment pas que mes « fils du vent » auraient un tel succès. Dom 1 : merci pour votre commentaire, le « cuisiné avec intelligence », c’est vrai que quelquefois, c’est une véritable cuisine. Bien sûr sans cet air, ces brises, ces vents, ces tempêtes, qui nous pénètrent, qui nous emportent, serions-nous « nous » ? A-t-on déjà vu des poissons écrire des poèmes ? Ramana : Vous avez très bien vu. L’esprit est le vent, le froid est l’espace glacial, le chaud, le feu du soleil, l’eau, le bouillon de culture où la vie prend forme, la terre, le lieu de naissance et d’évolution des êtres vivants, de l’homme, de ses réflexions, de sa sagesse… Bien sûr, l’air est un objet de méditation. J’aborde déjà ce thème dans mon texte « Respire ». Merci pour votre riche commentaire. Vincente : merci pour votre commentaire. Désolé mais la forme graphique n’est nullement volontaire, j’ai juste centré mon texte. Vous y voyez un cyclone, d’autres une tornade, c’est le vent inconscient de la poésie qui en a sans doute rajouté un petit peu. Merci pour votre lecture et votre vision. Egfrild : merci également à vous pour votre commentaire. C’est en effet un petit conte un peu zen, avec quelques accents de sagesse orientale. Ce vent nous emporte jusqu’à nous-mêmes, et au-delà, c’était bien là le but. Papipoete : merci pour votre appréciation et pour mon « érudition » bien mince en réalité, je suis juste un rien passionné par la quête de l’essence et du sens et pour cela je lis, je me documente. Alcirion : un grand merci à vous également pour votre sympathique commentaire gratifiant. Pizzicato : merci à vous d’être passé sur ces courants d’air. Bien sûr que l’homme est un fils du vent, le souffle divin parle en son esprit quand il veut bien l’écouter. Vincendix : merci de votre passage sur mon texte. Vers classiques, suggérez-vous ? Je m’en sens bien incapable pour ma part. J’écris intuitivement, en toute liberté et sans contrainte d’aucune sorte, je retouche ensuite, le classique est hors de portée pour moi, et d’ailleurs je n’en connais pas suffisamment les règles. Marite : merci Marite pour votre commentaire. C’est un conte, une mythologie toute personnelle. Ces « fils du vent » sont nés après avoir lu cette expression dans un livre de spiritualité chrétienne, je ne sais même plus de quoi l’auteur voulait parler à ce moment là, mais je l’ai aimée et j’ai trouvé intéressant de lancer ces « fils » sur notre planète pour voir ce qu’ils en feraient. En fait l’écriture de ce poème s’est faite un peu seule, avec ce que j’ai en permanence en tête, la quête de l’essence, du sens de la vie. Leni : merci Leni pour votre commentaire, j’aime, il est vrai, quand un texte est léger et je ne peux m’empêcher d’induire mes désirs à mon travail. Cette référence aux gitans est bien vue, les vents comme nos humeurs, nos consciences, sont effectivement très nomades. Brume : ah et bien moi je l’adore votre commentaire, cela donne envie d’écrire encore et encore pour de telles appréciations. J’ai rougi à la lecture de votre message. Merci à vous d’avoir apprécié à ce point mes mots, ces courants d’airs venus du tréfonds de mon âme. C’est de la vie que l’on échange là, vous savez, alors c’est normal que cela vous ait semblé si réel. Jfmods : alors là, je suis époustouflé par votre commentaire qui a su si bien décortiqué mon texte. Je ne voyais vraiment pas tout cela en écrivant, cela démontre bien que mon écriture est intuitive, automatique. Je me sens manipulé par ma muse, un vent intime et invisible, silencieux et sournois qui m’incite à écrire, décrire, imaginer, mystifier, mythifier. Vous avez sans doute raison, dans ce texte il y a sans doute un fil, ou des fils, ceux du marionnettiste suprême, le divin. Ici, il avait pour nom : le vent. Miss Neko : grand merci pour votre gentil commentaire. C’est un conte en effet, des origines, de notre destinée, de notre présent aussi sans doute. Proseuse : merci également à vous pour votre passage, votre lecture, votre appréciation. C’est un petit conte, en effet, pour les grands enfants que nous sommes. Pouet : ah merci pour ma mite au logis. C’est vrai que cette mite a fait pas mal de trous dans ma cervelle, d’où les courants d’air. Merci pour votre sympathique commentaire en tous cas. Il est vrai aussi que j’aime bien réfléchir à ce que j’écris, ce serait bête de réchauffer des idées déjà bien éculées. Plumette : merci Plumette pour votre commentaire gratifiant. Relisez-le autant que cela vous chante, ce texte, il est là pour cela, comme un conte pour enfants, un truc pour bien s’endormir. Ce texte est né de petits riens qui trottent dans ma tête depuis sans doute toujours et qui se sont imposés à moi sous cette forme. Voyez mes messages à Ramana, à egfrild, à Marite, jfmods… où je donne quelques explications, et peut-être pas de vraie réponse. Fabio : merci pour votre lecture et votre commentaire. J’ai consacré les trois quarts du texte au quatrième fils car il nous concerne directement et c’est celui qui nous façonne le plus intimement. Voilà, je pense n’avoir oublié personne, encore merci à tous, et à bientôt sur Oniris pour de toutes nouvelles aventures… Du moins, j’espère.
Contribution du : 28/09/2016 11:57
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Re : Merci pour mes "fils du vent" |
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Visiteur
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Merci Corbivan pour vous être laissé emporter par le vent et ses fils. C'est vrai que deux poèmes semblent apparaître, mais non... Les trois premiers vents au passé, c'est le monde qui s'est construit, c'est le décor qui s'est bâti inexorablement, puis pour le quatrième j'ai voulu employer le présent car pour moi ses actions de transformation des terres et du vivant se déroulent encore maintenant, et vraiment, pourrait-on comprendre le présent sans les racines du passé. Le temps, la vie, toujours sont ininterrompus, la cause produisant l'effet, immanquablement. Merci en tous cas pour votre commentaire sympathique et cette appréciation très gratifiante.
Contribution du : 29/09/2016 00:33
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Re : Merci pour mes "fils du vent" |
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Maître Onirien
Inscrit:
15/11/2008 09:48 Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
20252
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Merci Jaseh pour la réponse que vous apportez à la question que je me posais après avoir lu votre poème. Il est vrai que, parfois, sans que l'on ne comprenne pourquoi, un mot ... une expression ... une phrase ... font naître des " mondes " qui trouvent un écho en nous. Lorsque nous arrivons à traduire cela en mots, cela donne la plupart du temps, de très beaux écrits, poème ou prose.
Contribution du : 29/09/2016 13:43
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J'aimerais être esprit pour traverser l'espace et modeler le temps, à jamais, à l'infini. |
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Re : Merci pour mes "fils du vent" |
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Visiteur
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Un grand merci à vous Troupi pour votre passage sous le vent. Vous écrivez que la rime m'a parfois forcé un peu la main et que j'aurais gagné un peu en liberté. Je ne sais pas vraiment. Le son des mots parfois me porte, donne une musique au texte et le crée bien souvent. Je suis soumis à lui, et libre à lui de rimer ou pas. De plus je pense que, comme pour beaucoup d'autres choses en ce bas monde ou dans les cieux bien hauts, la liberté n'est sans doute qu'une belle illusion. Merci pour votre commentaire en tous cas.
Contribution du : 30/09/2016 09:28
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