Je remercie du fond du coeur le Comité éditorial pour avoir bien voulu publier Absence, et mes lecteurs pour leur avis. Et tout particulièrement Chimen et Lulu pour avoir dit qu'on se perd dans ma poésie, car c'est vrai. Comme souvent, j'ai voulu tout dire et son contraire : un printemps préraphaélite, l'hiver, et encore une pointe d'automne au sein de l'hiver (sans parler du gerfaut de Hérédia accouplé au cygne de Mallarmé, ce que je me suis reproché en priorité, après avoir, naturellement, cédé à la tentation...).
Je remercie aussi ceux qui ont manifesté une indulgence excessive vis-à-vis de ce poème... et qui y ont trouvé la fluidité que j'ai voulu y mettre.

Ou que j'ai, en vain, tenté d'y mettre... Je ne sais pas, de toute façon rien d'autre à faire que d'essayer encore, après avoir tiré profit de vos conseils.

Bonjour Charlemont,

je tiens tout de même à vous rassurer : je ne crois pas m'être complètement perdue dans la lecture de votre sonnet. Seul un quatrain - le second - m'a semblé confus. Du coup, cela a impacté l'ensemble de ma lecture.

En tout cas, merci de tenir compte de nos remarques. Il est vrai qu'il est essentiel de relativiser son travail pour mieux faire par la suite.

Au plaisir de vous relire.