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1 Utilisateur(s) anonymes
Merci pour "Alors les dieux, là-haut!" |
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Expert Onirien
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Je remercie tous les intervenants qui ont permis que mon poème puisse être publié et je suis content de l’accueil qui en a été fait, même s’il y a quelques bémols par-ci, par-là.
Mon idée, comme indiqué dans l’incipit, était de traiter le thème à la façon d’une chanson de Brassens (que j’ai toujours adoré). J’ai choisi l’alexandrin car j’aime cette métrique en deux sizains qui se prête bien à la diction, voire à la chanson. J’ai tenté aussi, pour le plaisir de l’exercice, de faire rimer à l’hémistiche (au moins en assonances), les premiers sizains de chaque vers avec ceux des vers suivants et cela presque partout. Mais je crois que ça ne s’est pas trop vu même si je pense que cela participe au rythme général qui globalement a été apprécié, il me semble. Brume : Bien sûr, dans ce texte je parle de l’homme en général, moi y compris, et de personne en particulier. Les quatrains quatre et cinq le montrant dans ce qu’il a de pire à mon avis : son (notre) orgueil. Dès les sixième et septième quatrains, je prends du recul sur la colère et je reconnais « cracher dans la soupe » et ne voir les choses que « par le petit bout de la lorgnette » ce qui m’empêche de voir aussi le bien en me focalisant sur ce qui va mal. Je veux dès lors voir l’essentiel à mon coeur en émoi, c’est à dire le bon côté de l’homme et le verre à moitié plein, comme Plumette le note dans son commentaire. Je reconnais toutefois que ce « coeur en émoi » est un peu forcé pour la rime même si au final il me semble que ça a du sens, l’essentiel étant ce qui parle au coeur. Effectivement des échanges avant publication m’ont permi, sur suggestion, de rajouter cette virgule qui manquait par faute d’étourderie. Il me semble que ce genre de chose ainsi que les éventuelles fautes d’orthographe se voient habituellement proposés pour correction avant la publication. J’espère vous avoir un peu éclairé. Je vous remercie infiniment d’avoir pris de votre temps pour m’offrir votre commentaire. Hananke : Je vous remercie de votre passage sur mon poème et je me sens encouragé par votre commentaire. Au plaisir de vous lire aussi. Ramana : Merci beaucoup pour votre passage. Quelle est donc cette Tradition avec un T majuscule dont vous parlez dans votre commentaire et qui fait, la connaissant, que l’on puisse se foutre que l’Homme avance ou régresse ? Merci beaucoup pour vos compliments sur la forme. Pizzicato : Merci beaucoup pour votre passage et vos bons commentaires. J’ai été tenté un moment de proposer mon poème dans la catégorie « chanson » en pensant à toutes celles de Brassens construites sur des alexandrins. Il me manquait juste une mélodie que je chercherai peut-être un jour (chose que vous paraissez savoir faire). Au plaisir. Papipoete : Je vous remercie de vous être arrêté sur mon poème. J’ai hésité entre « Hominuscule » et « hominiscule » qui démarrait plus comme hominidé. Au plaisir. Marite : " N'avez-vous senti là quelque chose qui cloche ?" Il me semblait que cette forme pouvait être acceptée et cela me permettait de rimer au premier sizain avec le mot « emploi » du vers au-dessus. Si effectivement elle est irrecevable, il me faudra changer et, à ce moment là, probablement adopter celle que vous me proposez et qui ira très bien. Merci beaucoup pour votre passage. Francis : Oh oui, notre passage sur cette terre est court. Et plus on avance en âge, plus le temps semble s’accélérer, hélas. Merci beaucoup pour avoir pris de votre temps pour commenter et apprécier mon poème. Alexandre : Si c’est vous qui dites que ma prosodie tient la route, j’en suis vraiment heureux. Je vous sais très doué sur ce point et je me demande si votre pseudo ne vient pas tout simplement de votre facilité dans le maniement de l’alexandrin. J’ai opté pour le « mal à la fesse » au dernier quatrain, car j’ai eu peur tout d’un coup de faire trop sérieux par rapport au début du poème et je voulais garder un côté brassens en recyclant ainsi le très vilain « ça me fait mal au cul » que l’on entend parfois. Plus bas Vincendix me propose « c’est vrai, je le confesse » que je vais peut-être utiliser, mais qui me gène un peu (j’avais tourné déjà autour de ce mot) car pourquoi doit t’on se confesser plutôt que simplement dire que l’on ne verra pas le bonheur ici bas? Merci beaucoup encore pour votre passage. Au plaisir de vous lire bientôt. François : Merci beaucoup pour votre intervention. Vous avez moins aimé le vers « Et trouver l'essentiel à mon cœur en émoi ». J’en parle un peu plus haut avec Brume. Je ne suis pas si pessimiste que ça, au contraire même, mais même les plus optimistes sentent bien que l’Eden sur terre ce n’est pas pour nous nous nos descendants immédiats. Merci encore. Corbivan : Vous me dites « Sur la forme rien à redire, ça ronronne mais ça ne transcende rien… » J’ai choisi un cadre (des quatrains en alexandrins) et je crois que je ne suis pas assez doué pour arriver à élever un peu plus cette forme. Le fond ne vous à pas plu non plus. J’en suis désolé. Effectivement je ne change rien (quel poème et même quel poète a déjà changé quelque chose) et ne dérange pas grand chose. C’est vrai, mais je n’avais pas non plus cette intention que je trouve présomptueuse. Ma poésie ne sert à rien je vous l’accorde volontiers et pourtant je continuerais, je pense, à en proposer. Ca ne vous étonnera pas, mais je fais aussi des mots-croisés. J’espère vous contenter un peu mieux la prochaine fois, mais vous mettez la barre peut-être un peu haute pour moi. Merci beaucoup pour le temps que vous avez passé à m’exprimer votre ressenti et au plaisir de vous lire. Cristale : Vous trouvez un peu lourd « En se croyant un roi » et me proposez « Se prenant pour un roi ». Aaaargh, comment j’ai pu ne pas trouver votre phrase si simple et si évidente. Vous avez mille fois raison et si je ne puis plus le changer sur Oniris, je le change de suite, chez moi, dans mon cahier. Pour « N’avez-vous senti là quelque chose qui cloche ? » je vous renvoi à ce que j’en disais à Marite au dessus. Merci beaucoup pour votre temps et au plaisir de vous lire. Vincendix : Je suis d’accord avec vous, heureusement qu’il y a énormément d’hommes de qualité sur terre (d’ailleurs tout un chacun se persuade assez facilement qu’il est pas loin d’en être un) et les phrases toutes faites comme « tous pourris » m’horripilent. Se poème se veut dans sa première partie un cri de colère mais dans sa seconde partie revient à une vision plus objective une fois la lorgnette retournée du bon côté et le fiel tari. L’essentiel peut alors apparaitre au narrateur, l’émouvoir, ainsi que l’idée que, malgré tout, le monde avance. Pour le troisième vers du dernier quatrain « j’en ai mal à la fesse » pas terrible finalement, j’en parle avec Alexandre ci-dessus et je lui indique que je vais peut-être utiliser votre proposition pour ma version définitive. Merci pour votre passage. Plumette : Merci pour vos commentaires. Vous vous êtes arrêtée sur le vers « Et des trous dans la peau, revers de la médaille » que vous dites ne pas bien comprendre. J’ai voulu dire que batailler à tout va, plein d’orgueil avait aussi ses inconvénients, en plus d’être vain, comme se faire trouer la peau au passage. Effectivement « le mal à la fesse » est très influencé par le style Brassens, mais je ne vais peut-être pas le garder pour ma version personnelle. Je vous invite à voir ce que j’ai répondu à Alexandre ci-dessus. Merci beaucoup et au plaisir de vous lire. Robot : Merci beaucoup d’avoir pris de votre temps pour lire mon poème et en plus de l’avoir apprécié. Vous m’encouragez à en commettre d’autres. Au plaisir de vous lire.
Contribution du : 18/01/2017 18:05
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Re : Merci pour "Alors les dieux, là-haut!" |
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Bonjour Michel64
Alors en EL le commentateur ne doit pas relever les fautes d'orthographe et la mise en page, ça je le sais. Mais la ponctuation est-elle inclus dans les défauts de mise en page? Ce n'est qu'une question, au moins pour que je ne relève plus en EL les soucis de ponctuations. Ce qui serait dommage car cela joue sur le rythme et la manière dont je dois appréhender ma lecture au niveau de la fluidité, de la tonalité, et de la musicalité.
Contribution du : 18/01/2017 18:26
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Re : Merci pour "Alors les dieux, là-haut!" |
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Expert Onirien
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Je ne sais pas trop, Brume, n'étant pas spécialiste, mais c'est une question à poser assurément à un membre du comité éditorial.
Merci encore pour votre commentaire et bonne soirée.
Contribution du : 18/01/2017 18:40
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Re : Merci pour "Alors les dieux, là-haut!" |
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Expert Onirien
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Ok j'ai envoyé un MP à un membre du CE. Je serais éclairée car ça me perturbe.
Contribution du : 18/01/2017 19:18
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Le léopard ne se déplace pas sans ses tâches (proverbe africain) |
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Re : Merci pour "Alors les dieux, là-haut!" |
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Expert Onirien
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Merci beaucoup Pouet pour votre petite visite sur mon poème qui, heureusement, ne vous a pas déplu.
Bonne soirée.
Contribution du : 19/01/2017 16:55
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Re : Merci pour "Alors les dieux, là-haut!" |
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Expert Onirien
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Merci beaucoup Ioledane pour votre passage sur mon petit poème.
Comme je le dis au post 1 de ce fil (et dans l'incipit) , mon intention était un peu de faire à la manière de Brassens que j'adore, même si bien sûr je n'ai pas son talent. Le "j'en ai mal à la fesse" était un peu pour remettre de la fantaisie dans la fin du poème (chanson?) qui, me semblait-il, prenait un tour un peu trop sérieux. Je reconnais que c'est pas terrible et vous n'êtes pas la seule à l'avoir relevé. J'ai d'ailleurs dans la version que je garde chez moi, finalement adopté la suggestion de Vincendix malgré quelques réticences (voir au post1 y compris réponse à Alexandre). Au plaisir. Michel
Contribution du : 23/01/2017 13:21
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