C'est avec un retard pour lequel je présente mes excuses que je viens remercier les lecteurs qui se sont arrêtés sur « Vert de gris » et particulièrement ceux qui ont bien voulu me livrer leur sentiment. L'indulgence dont la plupart ont fait preuve quant à ce poème me touche d'autant plus qu'en le proposant à Oniris, je n'étais pas vraiment convaincu de sa qualité (et je ne le suis toujours pas) mais je tenais à aborder ce sujet douloureux et polémique parce que j'ai été particulièrement ému par les larmes que versait une vieille dame de plus de 90 ans en relisant la dernière lettre de son Willy, soldat allemand qu 'elle avait connu à 15 ans, père de son unique enfant. Sans doute le traitement n'est pas à hauteur de ce que j'espérais écrire, mais au moins je suis heureux de constater que cette évocation a éveillé tant la compassion que la colère au vu du niveau de bassesse atteint par la lâcheté de foules haineuses qui bien souvent, ont choisi de battre et d'humilier de malheureuses femmes plutôt que de s'engager dans la lutte armée. On a le courage qu'on peut...

Je vous remercie de tout cœur Dom1, Papipoète, Madawaza, Klint, Alcirion, Pizzicato, Bidis, Léni, Plumette, Zorino, Proseuse, Personne, Miguel, d'avoir avec beaucoup d'indulgence su partager mon émotion. Jfmoods, comme à l'habitude, vous avez avec subtilité affiné votre commentaire de façon judicieuse.
Je tiens à remercier tout particulièrement Léopold Partisan dont je partage bien des valeurs, Ludi et Michel64 qui ont bien senti combien il est possible d'améliorer ce texte qui vaut sans doute plus par son sujet que par sa forme. Toujours est-il que toutes vos remarques constituent des pistes d'amélioration que je ne manquerai pas de suivre.

Bien amicalement à vous.
C.

PS : mon pseudo se réfère à un auteur qur j'ai beaucoup aimé, J.O. Curwood, malheureusement entaché d'une faute de frappe.