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1 Utilisateur(s) anonymes
Remerciements / Tu es parti. |
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Merci à tous ceux qui ont permis la publication de ce poème : lecteurs, CE, correcteurs.
Merci à Plumette, Pizzicato, Hersen, Pouet, Leni, Somnium, Dom1, Queribus et Papipoète pour leurs passages et commentaires sur ce poème qui a longtemps été sans titre, et exprime, vous l’aurez compris, un regret, des regrets, mais surtout celui de se dire qu’on aurait pu, qu’on aurait du pouvoir enrailler ce destin, d’un proche parti trop tôt et tragiquement… Parti où ? Je n’en sais pas plus que vous… mais j’espère que là-bas ça brille. En mémoire de lui, la chanson d’une artiste qu’il m’avait fait découvrir et qui, quand je l’écoute parfois, me parle de lui, même si, elle, elle parle d’autre chose : Cry Wolf
Contribution du : 28/04/2017 17:21
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Re : Remerciements / Tu es parti. |
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Merci à Dynamot pour son commentaire touchant.
Contribution du : 29/04/2017 09:25
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Re : Remerciements / Tu es parti. |
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Merci à Michel64 pour son commentaire.
Pour éclaircir un peu les petites bizarreries des vasques couchées et du fleuve éboulé… Le fleuve désigne la vie, cette vie que j’évoque, c’est un petit fleuve car cela aura été une vie courte, mais avec un vrai vécu, ce n’était plus un enfant, c’était un adulte, néanmoins il aurait pu vivre encore, on l’aurait voulu, même si nos relations ont été parfois difficiles et même conflictuelles, parce que tant que l'on vit, tout peut arriver, l'horizon s'éclairer. Les vasques sont ici synonymes de fontaines si l’on veut, elles contiennent l’eau, l’eau vitale, la possibilité de vivre, comme les horizons pourris évoquent le côté sombre et désespéré, désespérant de vies sans issues paisibles, apaisées, ces horizons se sont éteint pour lui, et les vasques sont couchées, tombées, laissant se répandre l’eau, le souffle, tout est terminé, il n’y a plus de possibles. Dans les deux dernières strophes je laisse une porte ouverte, celle de retrouvailles, ou d’un commun anéantissement, pas dans le néant mais dans l’univers, dans l’après vie, dans la mort. Quant à la lumière, c'est simplement que je ne peux me résoudre à l’obscurité totale. Leni a trouvé le poème triste, c’est vrai c’est triste, je suis assez triste souvent, mais quelque part je ne baisse pas pavillon, je me bats, souvent faiblement, mais je me bats.
Contribution du : 29/04/2017 13:20
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Re : Remerciements / Tu es parti. |
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Expert Onirien
Inscrit:
12/06/2014 08:51 De Pyrénées-Atlantiques
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Primé concours Groupe de Lecture Post(s):
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Merci pour vos explications, Corbivan.
Pour les vasques je vois bien la métaphore à présent. Par contre pour le "fleuve éboulé" ce n'est pas le fleuve qui bien sûr représente la vie qui passe qui m'a gêné, mais plutôt le terme "éboulé" que l'on prêterait plus volontiers à un édifice, à une amas solide. Pour le fleuve j'aurai plutôt vu, "asséché, évaporé, ensablé, enfoui ou autre". Bonne journée Michel
Contribution du : 29/04/2017 15:31
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Re : Remerciements / Tu es parti. |
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En effet 'éboulé' est un peu dissonant parlant d'eau, mais je trouvais l'image intéressante...et ça résonne à écroulé...je fais souvent ça sans trop m'en rendre compte...comme si j'écrivais un peu 'de fil en aiguille', je veux dire un mot en appelant un autre.
Contribution du : 29/04/2017 15:56
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Re : Remerciements / Tu es parti. |
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Merci à Raoul et Costic pour leurs commentaires respectifs de ce texte.
Contribution du : 30/04/2017 16:57
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Re : Remerciements / Tu es parti. |
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Merci à Lilas1 pour son commentaire...consolant
Contribution du : 08/05/2017 21:50
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