Merci aux membres du CE pour avoir retenu mon texte « Adieu l’artiste ! ».
Merci aux lecteurs et surtout aux commentateurs, de plus en plus rares, il me semble qu’ Oniris est sur le déclin, plusieurs belles plumes l’ont quitté, d’autres réduisent leur participation, les « petits nouveaux » sont discrets !

Donaldo, le pinceau du peintre est un élément de transmission très important et il est évident que celui qu’il tenait au moment du drame a également perdu son âme.
Pizzicato, plus de retouches possibles, le tableau de l’artiste n’était même pas signé !
Alexandre, en fait, c’est une histoire vraie, à la différence que l’artiste (amateur) n’est pas décédé sur le coup mais plusieurs jours après l’accident.
Papipoete, j’ai une « mauvaise » habitude à changer de temps, c’est vrai que je trouve moins poétique le passé simple que l’imparfait, peut-être à tort.
Zorino, bien entendu je me souviens de votre poème évoquant Claude Monet, c’est d’ailleurs ce qui a motivé ma proposition d’envoi du mien, écrit il y a quelques années.
Cristale, le sujet exige une certaine sobriété, je suis bien d’accord, mes vers sont moins colorés que le tableau.
Leni, le souvenir de l’artiste se perpétue à travers ses toiles, dans sa famille, chez ses nombreux amis.
Vincent

Merci Raoul,
Vos remarques sont certainement judicieuses, n’ayant aucun talent dans l’art pictural (je me contente d’admirer), mon récit est celui d’un étranger à ce domaine bien particulier.
Merci Proseuse,
Vous avez compris ce que je voulais exprimer, cet artiste est toujours présent à travers ses toiles, j’en ai une dans mon bureau, elle représente un sous-bois en automne, d’après une photo que j’avais prise.
Dans mon job ( de retraité), j’ai l’occasion de relater des expositions de peinture et je suis toujours admiratif des œuvres exposées de style différents.
Vincent