Merci à vous tous d'avoir pris le temps de lire et parfois commenté ce texte, et au CE bien évidemment de l'avoir publié.
Bon, on peut pas dire que j'ai fait un tabac avec celui-là, je ne crierai pas à l'injustice bien que je trouve qu'il ait par certains d'entre vous été mal compris. Qu'importe, c'est le jeu ma pauvre Lucette et je dois bien avouer que ces derniers mois m'ont vu déserté par ma muse.

Alors juste vous dire que j'écrie beaucoup sur la prison, un thème qui me tient à cœur tant je trouve que cette pratique de l'enfermement amène plus de problèmes que de solutions. J'admets qu'elle est parfois nécessaire sans doute, mais aussi souvent très contre-productive. Bref, comme je n'amène moi non plus d'autres solutions hein, je vais m'arrêter là.

Ce texte ne se voulait ni prétentieux, ni réservé à un public d"initiés", j'ai essayé au contraire de ne pas abuser de l'argot (au contraire d'un autre de mes textes sur la prison, refusé ici il y quelques temps, qui pour le coup était complexe à déchiffrer, "Zinzin en zonzon"), je voulais quelque chose de simple, presque une chanson en fait comme vous l'avez remarquer, même si je ne voulais ni faire Négresse Verte, ni la digue du Q... Les garçons bouchers je préfère en effet, c'était déjà plus l'esprit, merci.

Je ne voulais pas non plus faire chanson de taulard mais plus le point de vue du proche d'un taulard, ami, parent, famille, ça n'a pas été bien perçu, je vais me flageller immédiatement.

Allez, on se revoit bientôt, j'ai retrouvé l'inspiration, ça va saigner.

La bise.