Merci d'abord à ceux qui ont lu ce texte et l'ont commenté

Non ! je n'étais plus ado ( quoique j'écrive depuis l'âge de 15 ans...pour survivre. Il arrive parfois que la vie ne soit pas un "long fleuve tranquille".)
En fait, la guerre du Liban a duré une quinzaine d'année. J'ai du écrire ce texte entre 22 et 25 ans sans doute ( je ne l'avais pas daté ) pour l'offrir à un ami de l'époque, dont j'ai découvert, après, qu'il était libanais. Dès l'adolescence ( Algérie où je suis née oblige ) j'ai milité contre la guerre, et un tas d'autres choses. A cette époque, j'écrivais plutôt des articles engagés dans le journal de mon quartier toulousain..
En fait, Aldénor, ce poème veut parler surtout contre la guerre, j'
explique plus haut pourquoi il est plus précisément lié au Liban.

La poésie, c'est venu un peu plus tard. Très mauvaise.
Il faut du temps pour arriver à aimer ce qu'on écrit. J'ai donc tenté des concours ( de l'Académie" à Paris, des " Jeux Floraux" à Toulouse et quelques autres ) En fait, gagner des prix, être publiée n'a pas rempli ma vie, et j'ai laissé tomber les concours

Je continue donc à écrire ( plutôt en tant que citoyenne militante ).

Mais quand je lis des commentaires tels que les vôtres sur un texte que j'ai mis tant de temps à oser présenter, je suis surtout touchée d'avoir été comprise. Donc encore une fois, merci à vous

Létho

Merci letho, pour ces précisions, c'est ainsi que je conçois la discussion post publication, comme onirienne de base que je ne suis plus vraiment.

Comment vous dire ?
Je suis émotive et donc émue du choix judicieux et mûrement réfléchi de chaque mot de ces remerciements.
J'aurais envie de commenter votre commentaire ci dessus. parfait sur le fond, dont la forme ne l'est pas autant mais dont on sait comme chacune, que nous avons tous nos limites.

Tres cordialement,
Éclaircie, citoyenne, humaine, à la mémoire trop envahissante, et ici, onirienne lambda, ravie d'être repassée par là.

Merci Eclaircie, d'avoir pris le temps de passer, puisque cette "réponse aux commentaires vous "visait" plus particulièrement...

Cette citation de J C Barbé est inspirée.
Je ne connais pas ce poète, dont je me mets en quête à l'instant
C'est aussi ainsi que je conçois les échanges oniriens, la découverte,
la surprise, l'inattendu

Mais...que trouvez-vous donc à la forme de mon commentaire. Comment l'auriez-vous "vu" ? Cela m'intrigue...

Bonjour Letho,

Parfois les (mes) commentaires sont empreints de souvenirs d'échange avec les auteurs qui sont anciens.

Vous évoquez l'écriture et votre chemin dans ce domaine, je voulais vous signifier que votre écriture en poésie mais aussi en commentaire est intéressante et que la démarche de remercier pour poursuivre le dialogue toujours intéressante.

Cordialement,

Quant à Jean-Claude Barbé, ayant dans sa jeunesse côtoyé André Breton, publié dans la revue "La Brèche" il avait choisi de rester anonyme et de correspondre discrètement ces dernières années via des sites et blogs, comme nous tous -le talent en moins pour certains- et j'ai eu la chance de le croiser, il a été mon "maître" au sens : "3. Celui, celle qui a la prééminence (dans un domaine, dans un lieu), qui peut y faire prévaloir son autorité. " du CNRTL.
Il est décédé en juillet cette année, merci d'avoir remarqué la qualité de ces deux vers, minuscule goutte d'eau parmi tous les poèmes qu'il me laisse.