Merci Socque et Asrya de votre lecture, de vos commentaires, et de votre patience.

Il en ressort donc principalement (je résume) :
1°) Trop de personnages secondaires inutiles/inutilisés
2°) Une mise en place trop longue (chiante même) et trop complexe
3°) Des dialogues peu convaincants, surtout au début mais aussi pour Arnis

Bref, en effaçant les personnages superflus, par extension je supprimerais l'essentiel des dialogues avant qu'ils ne posent les pieds sur la planète, et simplifierais un peu le début.

J'ai toutefois une question pour Asrya. Si on met de côté le cratère, la présentation du "caillou", du système clignotant et de la planète vue du ciel, même comprimé, est-ce que l'introduction ne resterait pas chiante ?

Et, Socque, les Harmonieux qui détruisent leur système... Ils ne sont pas forcément plus sympathiques que les belliqueux. Leur art prime sur tout et c'est uniquement lui qu'ils veulent faire vivre en le transmettant (ils n'aident pas des civilisations "moins évoluées").

Au plaisir de vous (re)lire
JC

Bonjour Jean-Claude,

Merci pour votre retour déjà.
J'ai dû relire le début de votre texte pour me remettre toute cette longue introduction en tête et relire ce qui m'avait déplu.
Je confirme : c'est très long à se mettre en route ! Et fouillis.

Est-ce qu'introduire Harmonie aussi longuement est nécessaire ? Je ne suis pas sûr. Cela pourrait être clairement et très largement écourtée pour que "l'action", ou en tout cas le moment où vos personnages sont confrontés aux étrangetés d'Harmonie, soit plus direct et que le lecteur soit directement agrippé.
Ceci-dit, ce serait un parti pris, presque sans la moindre phase introductive, ça peut plaire, ou non... tout dépend de la réalisation.

Mais est-ce que cela resterait "chiant" (je m'excuse à nouveau pour le terme) s'il y avait une introduction plus raccourcie ? Non, je ne pense pas. Si cette partie est bien dosée, que les éléments indispensables sont gardés et que le reste est élagué ; je pense qu'au contraire, le lecteur peut se sentir intrigué et curieux d'en savoir davantage (attention malgré tout à ne pas perdre ceux qui pourrait s'égarer au milieu du vocabulaire futuriste).

Enfin, pour l'instant, vous n'avez eu que deux commentaires.
J'espère que vous aurez d'autres retours (qui contrediront peut-être le mien et celui de Socque) car votre texte est riche et intéressant.
N'oubliez pas que ce texte est le votre, que nos avis ne sont que des avis ; l'essentiel est de se faire plaisir.

Au plaisir de réagir à nouveau à l'un de vos textes,
Asrya.

Encore merci Asrya. Et du retour sur le retour.

Pas de souci pour "chiant", ça a le mérite de synthétiser.


Je ne vais pas me précipiter à remanier. Il faut que la pâte lève. Certains lecteurs ont besoin de détails. Il faut juste que ce ne soit pas assommant.

Et je peux aussi en insérer en analepse une fois l'action lancée.



Au plaisir
JC

Merci Shepard de la lecture et du commentaire.

Avec une confirmation pour le début difficile et les acteurs initiaux en trop.


Les Harmonieux ont changé de temporalité pour s'isoler. C'est peut-être ça qui crée des complications ou la multiplication des explications, voire leur échec.


Arnis immunisé ? Peut-être à affiner. Il est rebelle, à sa manière.


Au plaisir de vous (re)lire

Bonjour [b]Jano[.b].

Oui, les méandres tortueux d'Oniris sont parfois amusants. En tout cas, merci d'avoir lu (jusqu'au bout) et commenté.


A priori, tout le monde est d'accord. Le début patine dans la confusion.
Harmonie est dans un autre espace temps et se raccorde, tout en restant décalé, à l'interface Point-Zéro, la synchronisation s'effectuant aux changements de phase.
Dit comme ça, c'est déjà lourd, j'ai sans doute visé trop compliqué.

Si vous préférez la SF "crédible", la hard-SF peut-être, je comprends que ça coince, surtout les Harmonieux. Pour moi, la SF n'est qu'une étiquette.
J'ai plutôt cherché une (petite) touche genre conte philosophique.
Les Harmonieux, démiurges obsédés par la beauté, ne me sont pas sympathiques (égoïstes en fait) et, s'ils changent d'état, ce n'est pas le retour au "bon sauvage" mais la fuite du "blasé".
Et les choix de Arnis ou Yeva sont différents. Bien que rêveur, j'aurais sûrement fini comme Arnis.

Le lecteur ne ressent pas forcément ce qu'a mis l'auteur, mais c'est normal, chaque lecteur donne une vie différente au texte.


Au plaisir de vous (re)lire.