Un grand merci aux lecteurs qui se sont arrêtés sur ce petit poème diversement apprécié dont l'objectif était prioritairement de créer une atmosphère de paix et de sérénité ce que d'aucuns estiment atteint. J'ai effectivement pris des libertés avec les règles « classiques » en toute connaissance de cause, sachant bien que quelques puristes allaient immanquablement critiquer la présence de hiatus bien que nous fussions en néo-classique. Commentaires rigoristes sans le moindre intérêt pour moi car je privilégie systématiquement le choix du mot que j'emploie à une règle qui me semble surannée et réductrice surtout quand la rencontre des voyelles ne produit pas un son désagréable. (Au passage j'en ai corrigé deux : « col » au lieu de « cou » et « sous l'indigo du ciel » au lieu de « ciel indigo ».)
Mais enfin chacun voit midi de sa fenêtre.
Merci donc à Eccar, Provencao, Alcyon, Papipoète, Marie-Ange, Pizzicato, Luciole, Ramana, Hananke, Marite, Absolue, jfmoods pour son commentaire, comme d'habitude, si pénétrant, The Dreamer qui me flatte beaucoup en évoquant mon poète favori.
Merci donc à tous. Sur ce, je retourne méditer un bon moment sur les faiblesses humaines dans un jardin que j'aimerais être japonais.
C.

Bonjour Curwwod

Comme je l'ai dit dans mon commentaire et je le maintiens :
les hiatus devraient être interdits dans toutes les catégories de
poésie.

Ce n'est pas une question de puriste rigoriste mais beaucoup
plus simplement d'esthétique pour l'oreille.
Il n'est rien de plus laid que de lire une poésie truffée de hiatus.

Bonne journée.

H

Un grand merci à The Dreamer qui a bien voulu se laisser porter par le climat de ce poème en dépit des libertés prises par rapport au strict classicisme.