Un immense merci pour mon poème :
_ Au CE pour avoir permis de l’inclure au catalogue d’Oniris, la poésie étant une de mes plus grandes passions.
_ Aux lecteurs et aux commentateurs (que je ne peux hélas citer un par un de mémoire et faute de temps.

Un merci particulier à tous ceux qui ont aimé sans avoir tout pigé (arf… mes « rimes secrètes » …) : c’est pour moi une preuve d’amour (n’ayons pas peur des mots).
@ Arielle pour le retable d’Essenheim que j’aurais cependant mieux vu sur mon Staba mater dolorosa. Désolé de n’avoir pas réussi à t’émouvoir.
@ Cristale (on se tutoie, on se vouvoie ? ) pour le commentaire qui me touche beaucoup, notamment pour Tristesse de Chopin.
Vous semblez bien me connaître toutes les deux qui faites référence à l’art de la mélancolie. La mélancolie, cet état psychique de la maladie de la bipolarité (j’ai mis Christophe André en exergue : un des plus grands psychothérapeute et psychanalyste d’aujourd’hui dont les conférences sont enregistrées sur Youtube et qui font du bien à tout le monde, y compris à ceux qui ne souffrent pas ), maladie lourde qui porte un si joli nom poétique. J’espère que les réformes en discussions actuelles au Ministère de l’Éducation ou l’industrie pharmaceutique n’y toucheront pas.
Figurez-vous que lorsque j’ai relu vos commentaires passait sur France Musique un récital de Flamenco qui m’a donné envie de poursuivre en écoutant du Fado. On est en plein dans le 1000 !
@ Marie-Ange et inconnu1 (dévoilez-vous!) qui me semblez avoir tout pigé.
@ chacun d’entre vous, chers commentateurs, vous qui montrez que le cercle des poètes n’a pas tout à fait disparu.

Bref, MERCI, vraiment.
Damy

Je fais volontairement remonter ce fil pour Pouet, comme je lui ai indiqué en mp.
@Pouet: vous qui avez été "moins sensible" au 3° quatrain qui contient à mon avis l'essence même du poème, qui en donne le sens, vous trouverez sûrement ici quelques éclairages.
Je vous remercie une nouvelle fois,
Damy

Bonjour,

Merci pour vos explications.
Je précise que j'ai été moins sensible à la forme des vers, pas à leur fond.

Bien cordialement.