Remerciements avant tout aux petites mains qui font vivre ce site, le plus intéressant que j'ai pu rencontrer ces dernières années.
Merci aux lecteurs et commentateurs qui ont apprécié cette courte nouvelle.
Un texte vrai, construit sur des souvenirs et qui ne cherche pas forcément à plaire au risque de perdre son identité.
Pourquoi l'ai-je proposé sur Oniris puisque je l'ai écrit pour moi ce qui n'est pas le cas de tous les autres.
Certains parmi vous ont compris qu'il y avait beaucoup de l'auteur et que si la nouvelle est courte c'est parce-que je trouvais que c'était déjà pas mal.
Merci particulier aux trois commentateurs de l'E.L.
Plumette : Que dire sinon que vous avez su saisir l'essentiel.
Tadiou : Désolé de vous avoir laissé sur votre faim mais c'est pour moi un beau compliment, en tous cas je le prends comme tel.
SQUEEN : Vous aussi vous auriez aimé un peu plus long, j'essaierai la prochaine fois mais là je n'ai pas pu.
Donaldo 75 : Bien écrit dites-vous, c'est déjà pas mal si en plus c'était mal écrit ! Mais promis la prochaine fois je ferai mieux.
Marite : C'est vraiment ça, de cette période j'ai beaucoup appris et entre autre le goût de transmettre les savoirs, tous les savoirs et l'envie d'aller voir le monde.
in-flight : Bien content de vous avoir rappelé des souvenirs, c'était une époque difficile à comprendre aujourd'hui mais courante il y a un demi siècle.
Pouet : Oui, un témoignage, pas très drôle mais en tous cas pas dramatique. Merci de ton passage et à bientôt.
Mokhtar : quelques questions bien posées mais qui en resteront là. Merci pour ces compliments et cette lecture attentive et pour avoir saisi qu'il n'était pas utile de développer plus. L'essentiel est dit.
Hersen : ben oui comme dit précédemment il s'agissait d'une époque où les comportements étaient différents d'aujourd'hui. Bien sûr aucun malheur dans cette histoire, même pas de tristesse ni de regrets. J'ai appris tant de choses et entre autre qu'il faut se relever après chaque chute. Cette résilience chère à Boris.
Encore merci à vous tous et commentez encore et plus pour que perdure ce site qui nous relie.
Amitiés.

Un récit qui m’évoque une toile en clair-obscur (avec beaucoup d’obscur), dont le relief d’ensemble se devine de part les touches très précises de subtils détails (j’ai bien aimé les guêpes prises dans les toiles d’Aglaé) qui ne font que révéler le poids de l’omniprésence morale d’un tyranneau domestique qui se dissimule dans l’ombre de son atelier.

« À la maison le bonheur n'était pas au menu, pas plus que son contraire. On ne se posait pas de questions à son sujet mais on savait qu'ailleurs c'était mieux. Entre les murs nous étions seulement à l'abri de la pluie, de la faim et du froid.
Suffisant pour la survie. »

Votre mère devait être une sainte !

… … … …

« Au bord du trou pas grand monde, sa femme, ses enfants, notre demi-frère banni pas rancunier et quelques anonymes. Peu. »

Mon imagination m’inspire une scène dans les tons de l’Angélus de Millet, où un renard roux se serait invité entre votre mère et vous, pas plus rancunier que lui.

« On allait pouvoir apprivoiser un renard. »

Le foyer, je pense, a certainement dû gagner en chaleur …

… … … …

Merci pour ce témoignage.
Bien à vous.

Bonjour Anthyme.
Merci pour votre passage ici.
Deux trois réflexions assez bien vues même si l'ensemble n'était pas aussi sombre qu'il vous est apparu.

Bonjour moschen.

Merci pour votre commentaire, je peux vous assurer qu'il n'y a aucune recherche de la moindre larmichette dans ce texte mais je ne peux pas vous reprocher de l'avoir ressenti comme tel.

Bonjour Perle.

J'aime bien la lecture que vous avez faite de ce texte parce-que vous mettez le doigt sur quelques points sensibles.
Merci d'avoir laissé une trace de votre passage.

Bonjour Hananke

Merci pour votre passage sur ma courte nouvelle, Je pense que cette époque a connu de nombreux pères plutôt silencieux, c'était comme ça et sans vouloir en faire une règle absolue force est de constater que les papas d'aujourd'hui sont incroyablement différents.

Bonsoir Louise et merci pour votre commentaire.

Bonsoir Louis.

Comme d'habitude votre commentaire est pour l'auteur encore plus intéressant que son propre texte.
Je me doute du temps qu'il faut pour rédiger une telle analyse c'est pour cela que je vous remercie particulièrement.

Le temps de chacun est précieux et quand on l'offre ici ou ailleurs c'est toujours un cadeau.