Bonjour à tous

Tout d'abord et comme de coutumes, un grand merci au C.E. d'Oniris pour avoir accepté de publier ce texte. Un autre grand merci aux correcteurs, lecteurs et commentateurs.

Nous sommes passés à la télé, il y a peu. Dans l'excellente émission Des racines et des ailes.
C'est si rare que je me devais de le signaler.

Il y a pal mal d'années, j'avais écrit un long poème de 4 strophes de 12 vers chacune sur ma région. C'était beaucoup trop long pour être proposé ici, je décidai donc de le scinder en 2 textes distincts. Je pense, au vu des retours de commentaires, que ce choix ne s'avère
guère judicieux et que ce premier texte souffre du découpage.

Je n'ai pas réussi, non plus, à lui donner un grand souffle lyrique comme dans Mon Jura ou Le canal de ma vie.

Je ne pense donc pas conserver cet écrit au catalogue du site.

BEL13VER : ce poème comportait bien une anomalie mais vous ne l'avez point décelée.
Je vous engage à ne commenter que le fond d'un texte, la forme vous semblant
trop étrangère. Par contre, je suis entièrement d'accord lorsque vous dites
que le lyrisme manque de vigueur et de puissance.
Je ne me suis pas ennuyer à l'écrire mais à le découper, oui.

TROUPI : merci de votre commentaire et content que ce poème vous ait plu.

MIGUEL : je vous l'ai déjà dit : un mot comporte plusieurs acceptions : au minimum
propre et figuré. Gavroche au sens propre est un gamin de Paris mais au sens
figuré, un gamin tout court. Il figure au Larousse des synonymes.

VINCENDIX : merci de votre passage et commentaire. Prémery est à 30 km de chez moi.

DAMY : forcés n'est pas là que pour la rime. Le mot doit être pris dans le sens de creusé, ouvert,
pénétré. Les eaux ruisselant pénètrent ou creusent la terre pour pouvoir s'écouler.
Nous aimions bien les grosses villes et leurs grandes esplanades bétonnées à une époque.

ESKISSE : merci de votre passage et commentaire sur ce texte.

PAPIPOETE : jamais une ponctuation ne gêne un enjambement.

LENI : merci de ton passage et commentaire. Mon père était jurassien et ma mère berrichonne.

DAVID : merci de votre passage. Je ne trouve pas trop rébarbatif l'enchainement :
Dans lequel je .Il y a pire. Le poème initial aurait été trop long.

PIZZICATO : merci de ton passage et commentaire.

SYNOON : merci de votre commentaire.

NAVIRE : merci de votre commentaire mais je suis bien incapable d'écrire en vers libres.

ALEXANDRE : merci encore pour la levée précoce du hiatus qui a permis de conserver
la catégorie. J'ai transformé le sizain final en quatrain car il ne me plaisait
guère non plus.

JFMOODS : merci de votre analyse toujours très approfondie.

PLUMETTE : merci de votre commentaire qui résume à lui seul toute la saveur de mon texte
et ses défauts : être resté trop sentimental. C'est lorsque j'ai lu votre com
que j'ai enfin pris conscience des faiblesses apparentes de mon texte. Je sentais qu'il manquait quelque chose
mais sans trouver quoi.
Pour une fois je ne fus pas assez descriptif.


Merci à tous et bonne fin de journée.

H

Merci pour le sujet. Le fait de penser au mot "belge", où on retrouve la même succession de consonnes que dans "lequel je", ça signifiait bien que je ne trouvais finalement pas si heurtée le phénomène, puisqu'il existe à l'intérieur d'un mot. Par exemple dans l'expression commune "avec des si", la succession du C et D me semblerait fausser la fluidité d'un vers. C'est peut-être plus flagrant avec "Cap de bonne Espérance" Pour le P et le D. Pour faire entendre distinctement toutes les lettres, ça manque de voyelles.

Je ne savais pas que ce poème était issue d'un poème plus long et mon jugement à priori ne pouvait pas le concerner, c'est un malheureux hasard.

Bonjour

A DAVID :

J'étais à une époque sur un site où l'on pouvait participer à divers
ateliers sur des formes poétiques classiques.
J'avais choisi ma région pour des strophes Onéguine :
strophes composées de 12 vers avec une forme particulière de la rime.

C'est de ces poèmes que celui proposé est né, avec un autre
que je posterai, peut-être, plus tard.

A EMILIA :

Bonjour et merci de votre bon commentaire. Mais comme je le disais
à PLUMETTE, j'ai sûrement trop privilégié l'affectif au détriment
du descriptif.

Bonne journée.

H

Bonjour et merci sympa de votre passage sur mon texte.

C'est sympa (comme c'est original ! )

Bonne journée.

H

Bonsoir et merci Marie-Ange de votre passage dans ma région.

Oui, la panorama du Bec d'Allier est à une quinzaine de kilomètres

de chez moi. La rencontre du fleuve et de la rivière est bien jolie

vue d'en haut.

Bonne soirée.

H

Bonjour Hananke,

Vous dites que "la forme m'est trop étrangère". Ce que j'observe, personnellement, c'est que je n'ai pas eu la chance de me former avec des livres théoriques (il n'y a qu'un an que j'ai découvert le traité de Sorgel, qui m'a convaincu d'aller sur Oniris). Votre manière d'annoncer les choses est peut-être - je ne vous en veux pas - un peu trop abrupte. Je serais heureux que la prochaine fois, vous me le disiez avec votre franchise naturelle, mais moins durement. J'aimerais donc un peu plus d'indulgence quant à la partie sur la forme poétique.
Merci en tous cas de votre retour positif sur la deuxième partie de mon commentaire.
Sachez que je travaille beaucoup ma forme, même si j'ai du mal, encore, à en voir les fruits. Je ferai de mon mieux pour moins commenter les poèmes de forme classique sur le forme (sauf si le manque de classicisme est flagrant).

Belle journée,

BeL13ver

Bonjour Bel13ver

Oui, je me suis aperçu, depuis que vous commentez en E.L.
et pas seulement sur mes textes, que vous énoncez beaucoup
d'erreurs concernant la prosodie poétique. (classique ou néo).
Alors, avant de me demander d'être moins abrupt dans mes réponses,
soyez plus attentif dans vos commentaires.
Je maintiens que votre ressenti sur le fond d'un texte est bien meilleur
dans l'ensemble, privilégié le.

Bonne journée