MERCI pour vos mots…
Ayant déjà remercié le CE et Marimay lors des corrections, je m’adresse à présent aux lecteurs et commentateurs qui m’ont fait le plaisir et l’honneur de leur passage…

Merci à vous, PAPILLON 26, de vous être posée sur ma page (j’aime aussi beaucoup les papillons…), votre ressenti m’a vraiment touchée et rien que pour votre commentaire et appréciation, je n’ai pas à regretter d’avoir proposé ce jeu de rimes… au plaisir de vous lire…

Bonjour à vous DONALDO et contente de vous retrouver sur ma page… ; je n’ai pas grand mérite pour cet exercice mais suis heureuse et touchée par votre appréciation…

PIZZICATO, je suis très admirative ! Comment faites-vous pour écrire et composer de si jolies chansons tout en prenant le temps d’accorder à chacun la lecture appréciée de votre ressenti ? Un grand merci à vous de tout cœur…

MARIE-ANGE, cette fois ma longue rimaillerie n’a pas atteint votre sensibilité mais vous avez pu en apprécier les bonnes vibrations… ; j’ai un double merci à vous adresser car j’ai un oubli à réparer, ayant découvert au hasard de cette nouvelle publication votre beau commentaire sur un texte plus ancien qui m’avait échappé et j’en suis désolée… ; merci à vous d’avoir partagé « cette heure propice » et de porter toujours dans vos ressentis cet amour si sensible pour la nature à laquelle je suis également attachée…

PAPIPOETE, merci à vous d’être toujours présent et d’avoir pris le temps de poser votre ressenti sur ma « ribambelle de rimes à donner le vertige »… ; une sympathique périphrase pour me signaler que ce texte est sans doute un peu long… Il n’est pas étonnant que vous formiez un super duo avec PIZZICATO, vous deux, qui ne manquez jamais ou vraiment rarement de consacrer un peu de ce temps précieux et réconfortant pour l’auteur…

Je découvre votre commentaire ROBOT au moment de poster mes remerciements (car je dois m’absenter…) qui pointe mes défauts en terme de logique grammaticale (décidément moi et la logique… !) et de longue phrase ; j’ai quelques difficultés à lutter contre ce penchant, en effet… quant à la forme, en fait, elle s’est dessinée au rythme de la narration et je n’ai eu qu’à retravailler un peu la cime, surprise moi-même par les deux symboles que je découvrais… ; merci à vous pour votre passage et appréciation…

En attendant le plaisir de vos prochaines lectures, bien cordialement, émilia

non, la " ribambelle " serait plutôt l'ensemble de bougies, qu'on aurait accrochées aux branches, depuis la souche jusqu'à la cime de " Sa Majesté ", qui une fois allumées purent resplendir tel un phare au loin ...

Etant de retour, je découvre PAPIPOETE que vos mots choisis ont transformé mon arbre de vie en sapin de noël illuminé, ce qu’il peut être certains jours quand la joie l’anime… ; merci encore à vous pour cette délicate et pertinente image d’un phare rassurant lorsque l’on est perdu dans l’obscurité, un peu à l’image de votre fenêtre qui reste toujours éclairée afin de ne pas s’égarer dans tous ces couloirs oniriens désaffectés où ne souffle parfois que le vent de l’indifférence… ; même si ce sapin illuminé a perdu rapidement de son éclat, cela me permettra de considérer davantage, plutôt que le verre à moitié vide, celui qui est à moitié plein…

Merci à vous QUERIBUS, dont le pseudo évoque le dernier bastion de la résistance cathare, pour votre passage et appréciation plutôt positive, malgré la longueur à déplorer… ; j’ai été très sensible à votre commentaire respectueux…