Merci à ceux qui ont permis la parution, aux lecteurs et commentateurs.
Annick – Lulu – Bidis – Pizzicato – Sourdes – Marie-Ange – Leni – Papipoète – Fowltus –
jfmoods – Gabrielle – Sympa – Pouet – Recanatèse – David - Quidonc - Cristale –
J’ai apprécié de lire l’ensemble de ces commentaires qui m’ont rapporté les sensations différentes qu’a suscité ce poème pour chacun et chacune d’entre vous.

Quelques réponses à certaines remarques :

A lulu : à propos des deux conjonctions : Je voulais souligner deux éléments, le moment (quand la nuit…) mais à la condition ((si le temps se retient…) Il ne suffit pas que la nuit s’effiloche, encore faut-il que le temps n’avance plus pour que le rêve fuit derrière l’oreiller. Votre proposition intéressante n’a cependant pas tout à fait le même sens.

A Fowltus : Vous auriez voulu de l’inattendu, mais mes insomnies n’en amènent jamais. Elles ne sont qu'un long parcours.

A David : Vous me faites toucher du doigt cette idée d’agonie que je n’avais pas perçue en écrivant mais qui s’est introduite probablement sans que j’en sois conscient.

Sourdes et jfmoods : Vos analyses de texte sont enrichissantes pour les auteurs qui découvrent des aspects de leurs écrits qu’ils n’ont pas forcément soupçonnés.
Grand merci à tous.

http://www.oniris.be/poesie/robot-nuits-blanches-8869.html

Bonjour Robot,

Je ne voulais bien évidemment pas déformer votre propos.

Je viens de relire votre poème, et garde, finalement, la même impression quant à votre première strophe... mais je ne sais que dire de plus. Si elle vous va, c'est tout ce qui compte. Puis, d'autres auront lu autrement… et je vous aurai fait part de mon ressenti.

Au plaisir de vous relire.