Bonjour à toutes et à tous,

merci pour vos commentaires sur ce poème, souvenirs de très bons moments lors des vacances de cet été. Moments dont j'aime rapporter des cartes postales de mots, pour les partager ensuite.

Merci donc à Izabouille qui a bien vu la carte postale, à Mokhtar (on m'a souvent "reproché" la brièveté de mes poèmes, et je m'en excuse, mais j'aime ces poèmes courts et denses. Je m'en suis expliqué sur les commentaires de mon précédent poème "Le Grand Océan"), Gabrielle et Lulu, Papipoète (je me suis fait la même réflexion que vous sur le "là-bas, la lave" que j'ai finalement décidé" de conserver), Robot (je ne parle pas des humains dans ce poème, la beauté du paysage avait pour un temps mis en retrait les joies des belles rencontres), JcJaZz, BlaseSaintLuc, Jean-Claude (oui, c'est vrai, falaise est un bien petit mot pour ces impressionnants remparts de lave, mais je n'ai pas trouvé mieux), Pizzicato (désolé que le choix du mot "enserrer" vous ai semblé inadapté, mais c'est l'impression visuelle que j'ai eue, allongé dans l'herbe au fond de ce cirque grandiose), Eskisse... et toutes celles ou ceux qui auront envie d'écrire un mot.

Je suis heureux de vous avoir fait voyager le temps d'une courte lecture, et vos commentaires m'ont donné beaucoup de plaisir.

Amicalement.
Ombhre

Bonjour Ombhre,
J'ai été plus sévère que d'autres commentateurs sur votre poème sur le cirque de Mafate.
En effet Mafate est un site exceptionnel à plusieurs points de vue: il a une histoire, un vécu, même des légendes au sein de l'existence de cette île. C'est un microcosme étonnant qui s'est développé en autarcie et a survécu à bien des évolutions développées ailleurs, même si les technologies récentes tendent à réduire un peu les écarts (hélicoptère, énergie solaire etc.)
Mafate ne se laisse pas conquérir facilement puisqu'aucune voie carrossable n'existe à ce jour.
Mafate se conquiert donc à pied, mais aussi peut se contempler depuis d'autres sites remarquables que sont le Col des boeufs, le Maïdo, le Roche écrite entre autres.
C'est toute cette richesse qui m'a manquée dans votre poème, mais peut-être suis-je trop exigeant.
Bonne poésie. Bonne continuation.
Corto