Bonjour, je ne comprends pas pourquoi mon commentaire sous mon propre texte a été modéré. Il est en effet stipulé que cet espace ne peut servir à remercier ou à répondre aux commentaires, ce que je n'ai pas fait. Bref, ce n'est pas bien grave mais c'est chiant parce que n'ayant pas de fonction copier/coller sur ma tablette ( et n'ayant plus d'ordi), je dois tout retaper.

Donc je disais que pour éclairer mes lecteurs et commentateurs j'aurais peut-être dû mettre en exergue l'entière citation de Balzac que voilà :
"Les deux jeunes gens s'étaient donc abandonnés à cette admiration profonde dont sont saisis les hommes instruits à l'aspect des rives du Rhin et des paysages de la Soubabe, entre Mayenne et Cologne ; nature forte, riche, puissamment accidentée, pleines de souvenirs féodaux, verdoyante, mais qui garde en tous lieux les empreintes du fer et du feu (...). " L'Auberge rouge"

Je prendrai plus tard le temps de répondre aux commentaires, en espérant que cette précision les éclaire sur mon texte. Merci !

Désolée de ce contretemps, LenineBosquet… Il n'y avait nulle intention de vous déranger en modérant. A titre indicatif et pour éviter tous malentendus, la charte stipule ceci pour tous au point 6 : "Seront systématiquement modérés :
– les commentaires de l'auteur sous son texte (sauf pour informer de l’ouverture d’un sujet de discussion en forum) ;"


Bien cordialement.

OK Lulu, mes excuses donc, je ne m'étais référé qu'à la petite fenêtre qui s'ouvre quand on veut mettre un commentaire sous son texte, je ne pensais donc pas être hors-charte. Mais c'était le cas en effet.

Bonjour à tous et merci d'avoir publié, lu et commenté ce texte, qui est un poème d'impressions, de sensations, plus qu'un récit. Je conçois donc fort bien qu'il puisse apparaître confus, voire sybillin ( que je revendique au sens de obscur, mystérieux, symbolique).
C'est un reportage au 13h de France 2 sur le Rhin qui m'a donné l'envie de l'écrire. On y voyait la brume, les usines, les arbres noirs, le soleil blanc et une atmosphère douce mais pesante, presque mortelle en cette fin d'automne 2018.
J'ai donc dans la 2ème strophe introduit cette notion historique de désastre dont le Rhin fût acteur et témoin. La citation de H de Balzac tombait à point nommé, tellement elle est proche de ce que j'ai voulu exprimer. Je tiens à saluer ici l'élégance rare et fine de jfmoods qui a recopié cette citation en commentaire, permettant ainsi à ceux qui m'ont lu de la voir apparaître sous mon texte, moi-même l'ayant fait mais modéré par la suite. J'en profite pour renouveler mes excuses à Lulu, des fois je m'emballe vraiment pour rien.

INGOA : vous n'aviez pas le bon titre puisque vous m'avez commenté en espace lecture et que j'ai fait changer ce dernier. J'avais mis en titre l'exergue soit " le fer et le feu". Ça plus le mot "usine" dès le 2 ème vers vous a fait partir sur une piste qui n'est pas ce que j'ai voulu exprimer. Tant pis. Merci de votre commentaire.

VINCENTE : merci d'avoir remonté votre évaluation d'un cran suite à la lecture de la citation de Balzac. Effectivement, ce n'est pas un poème narratif et comme je ne suis pas coutumier du fait, peut-être suis-je resté trop vague. Merci de votre commentaire.

PAPIPOETE : je dirais plutôt que la Lorelei n'est pas loin, pas le rocher mais la nymphe, la sirène qui par son chant faisait s'échouer les matelots pour les dévorer... Merci à vous.

JFMOODS : c'est toujours aussi agréable d'être compris, vous n'avez pas " dénaturé " ce poème, loin de là. Je rajouterais juste que " sur le fil" est bien entendu celui de l'eau mais aussi dans mon esprit celui du rasoir... Le sang de la coupure n'est pas loin. Merci encore de votre élégance pour avoir inséré dans votre commentaire la citation. Classe.

HANANKE : une strophe en plus, oui, pourquoi pas. Bon, je l'ai voulu obscur ce poème en même temps, à trop en dire parfois on se perd encore plus, ou on restreint le champs des possibles interprétations. Merci de votre commentaire.

STÉPHANE : voilà, vous avez bien ressenti et expliqué ce que j'ai essayé de dire. Ça aura marché sur vous, j'en suis fort aise. Merci pour votre commentaire.

MIGUEL : jfmoods ne peut pas faire de miracle non plus avec un texte volontairement obscur ! Merci beaucoup pour les " vers qui sont dans l'ensemble fort beaux. En poésie, c'est déjà suffisant ". Cela me touche beaucoup.

STÉPHANIE90 : et oui, c'est flou, je vous l'accorde ! Peut-être en lisant les quelques explications du début de cette intervention vous y verrez un peu plus clair à travers les brumes. Merci beaucoup pour " ces vers vraiment très beaux ", cela me touche infiniment.


A bientôt amis oniriens.

Merci Hubert pour votre commentaire. Votre analyse me fait voir mon texte autrement et je vois ce que vous y avez vu. Ingoa aussi était partie sur cette piste. Je trouve que vous avez bien raison de garder votre idée.