Moi le débutant, j’ai eu l’audace de présenter ce premier texte sélectionné parmi d’autres délaissés dans mes classeurs.

Vous imaginez mon angoisse et ma fébrilité pendant ce mois d’attente, me familiarisant certes avec les « arcanes arborescentes » du site, mais surtout en lisant et relisant les textes et commentaires divers et variés, pour la plupart tellement éloignés de mon style d’écriture et d’expression ! D'où mon appréhension.
Imaginez mon soulagement et ma petite dose de fierté lorsqu'on m’a annoncé que malgré tout, ce texte allait être publié sur ONIRIS ! Un grand merci au Comité Editorial et à la correctrice qui l’ont permis.
Imaginez enfin le plaisir que j’ai eu à la lecture des commentaires qui me sont tous allés droit au cœur.
Merci Quéribus, Corto, Papipoete, Senglar, PIZZICATO, Davide, Stephanie 90, pour vos encouragements et vos appréciations élogieuses.
Merci à tous d’avoir aimé ce poème et d’en avoir apprécié le fond et la forme, même si vous avez pu y relever quelques hiatus, vers ou termes maladroits ou enfantins (Davide) ;
Merci d’en avoir surmonté la longueur sans doute excessive mais que j’assume malgré tout, au risque de perdre en chemin quelques lecteurs pressés.
Merci Davide d’être passé au-dessus des alexandrins aux césures approximatives qui vous ont dérangé et d’avoir pris le temps de revenir à la lecture du poème et d’en faire une critique constructive dont je tiendrai certainement compte.
Dois-je répondre à Senglar ? Oui bien sûr la femme et la sensualité auraient pu tenir une plus grande place…….
Quoi dire de plus ? Rien pour ma part mais je reste disponible pour d’autres échanges si vous le souhaitez.
Merci et à bientôt peut être.


Lebarde

Bonjour Lebarde,

Vous sous-estimez vos talents d'écriture !
Je suis sur ce site depuis peu de temps, et je découvre toutes les diverses façons d'écrire (dans le fond, la forme...), propres à chacun ; et je trouve cela fascinant et très enrichissant.

En lisant votre poème la première fois, j'ai buté sur ces alexandrins car la césure était très aléatoire.
J'ai toujours été habitué aux 6-6 (ou 4-4-4 pour le trimètre), dans les poèmes en alexandrins.
Mais en le relisant, je me rends compte que l'absence de césure systématique à l'hémistiche ne casse pas le rythme.
Au contraire, cette irrégularité permet au poème d'avoir son propre rythme, magnifié ici par la poésie de la nature.

J'ai vraiment aimé ce poème (même si quelques hiatus ou autre ont un peu gêné ma lecture).
Permettez-moi de vous dire que vous avez une magnifique sensibilité, merveilleusement exprimée dans ce poème à l'éloge de nos sens.

Je suis impatient de vous relire, peut-être dans un poème plus court ou plus condensé.
Ce n'est pas que ça me dérange, mais les poèmes trop longs ont tendance à rebuter le lectorat.

Merci !

Davide

Merci pour ces mots
Mon mode d'expression, narratif et descriptif ne laisse guère de place à l’interprétation et au subliminal, vous l’aurez compris.
Les poèmes que j’ai « en magasin », dont certains, s’ils sont acceptés par le CE, pourront surprendre par leur réalisme, risquent encore de rebuter le lectorat par leur relative longueur.!!
On verra bien!!

Merci encore Davide
J’attends vos écrits

Lebarde