Bonjour,

Merci beaucoup pour Infarct-Us...

J’ai plein de choses à en dire mais je suis pour l’instant dans un no-man’s land internet (et les datas filent), donc ça attendra mon retour à la civilisation cybernétique...

Juste des mercis pour la publication, les lectures et commentaires bienveillants...

Le titre ?
C’est (Pouet t’es pas loin) évident et complexe à la fois... j’ai failli mourir la semaine où j’ai entamé ma relation avec Celui...

Et soudainement tout est devenu tellement évident, tellement puissant que les mots, aussi forts soient-ils ne suffisent plus à exprimer ce qu’on ressent. C’est la force de ces non dits que j’ai essayé de retranscrire dans mon poème...

Les évidences, et ce qui les construisent... l’echo de leur silence salutaire.

Il est compliqué de dire : j’ai fait un infarctus j’ai failli mourir... tout comme il est compliqué de dire : je t’aime...
Pourtant, niveau ressenti, rien n’a jamais été plus évident...

Je reviendrai vite pour plus d’explication si besoin... ou pour répondre à vos remarques...

Là je voulais juste vous remercier d’avoir ressenti la force de l’évidence.

Mille mercis donc

Salut,

le seul truc qui me vient c'est "ben merde alors"...

J'espère bien sincèrement que tu vas mieux.

Du coup mon commentaire me semble un peu con mais bon j'ai l'habitude.

Je crois qu'on a à peu près le même l'âge même si tu dois plus chatouiller la quarantaine que moi, l'ancêtre! C'est pas le moment de trop faire palpiter le palpitant nom di diou ça tient à peu de chose tout ça, on n'est vraiment pas grand chose pour se prendre la tête avec des conneries...

Bon franchement à part rigoler un peu, je vois pas trop ce que je peux te dire d'autre si ce n'est hasta la victoria siempre!

Coucou Ananas,

Mais ça va pas de nous balancer ça tout de go !
Ralala, c'est bien de l'Ananas tout craché... j'vous jure !..
En fait, t'en as rien foutre de notre pauvre palpitant à nous. C'est bien ça ?

T'inquiètes ! Je fais ma mariole, mais c'est pour m'éviter de dire tous les gros mots qui me viennent à la bouche. Parce qu'à ton âge, il faudrait pas avoir à traverser une telle galère.

Prends bien soin de toi, ma Belle.
Avec l'amour, j'ai cru comprendre que tu étais entre de bonnes mains.

Et reviens vite nous expliquer ton joli poème...


Cat

Rebonjour,

Donc, chose promise, chose due, me revoilà avec des explications sur Infarct-us.

Le titre c'est l'infarctus, infarct en néerlandais... parce que peut-être langue maternelle oblige, je suis morte en néerlandais...
Us c'est nous... parce que voilà les deux actes sont éminemment liés.

Le poème en soi c'est une énumération...
mais c'est aussi...
toutes ces petites choses qui font d'une relation, d'une vie, un endroit unique où l'on aime sentir battre son coeur au rythme du temps qui passe...

Et puis la passion, celle qui fait ratter un battement, celle qui donne l'impression d'étouffer, de mourir doucement - dans les silences ou l'absence, mais aussi dans la force des ressentis.

Un coup de blender, quelques formules personnelles... et puis l'arythmie qui certes n'est pas le plus beau mot du monde (encore que je le trouve tout à fait convenir entre ces voyelles et ses consonnes dures, paradoxe claquant, évoquant parfaitement l'a-ry-thmie)... mais je le trouve parfait juste là.



Infarct-us, c'est insidieux, parce que nous faisons de nos relations ce qu'elles sont, comme nous faisons de notre corps ce qu'il est.
Qu'une vie d'excès, ça finit par se ressentir.
L'amour, le vrai aussi.
Et souvent, les deux sont assez silencieux dans leur progression.
Les mots deviennent inutiles.
L'infarctus est déjà là, l'amour aussi...
quoi qu'il arrive.

Encore merci pour vos lectures, et pour l'amour, que vous avez tous ressenti, amour si cher à mon coeur, si je peux me permettre gnagnaga...

Et gnagnagna.
pas de doute, ananas est reviendue

salut ma grande et ça fait plaisir de te voir rôder de nouveau dans les couloirs...

Merci hersen, plaisir toutafé partagé et merci pour ton commentaire aussi