Merci à tous ceux qui ont permis la parution de ce texte, des commentateurs de l’espace lecture aux membres du comité éditorial, sans oublier ceux qui œuvrent dans l’ombre.

Et toutes mes plus amicales pensées aux commentateurs qui m’ont fait l’immense plaisir de partager ce voyage avec moi,
Hersen, Corto, Mokhtar, Gabrielle, Anje, Papipoete, Poltudor, Pizzicato, Vincente, Raoul, Davide, Robot, Emilia, Donaldo, Jfmoods, Thedreamer, Pouet,
....et d’avoir dit leur plaisir à m’accompagner.

Du désert de sable, comme de pierre d’ailleurs, se dégage au delà du visible, une puissance et une élégance naturelles qui inspirent une forme de révérence que j’ai essayé de refléter dans mes vers...
Non pas cérémonieux ni affectés comme le ressent Davide, non, se voulant simplement pleins de respect, - voire lyriques ...merci Pouet - comme celui que l’athée que je suis, ressent dans une cathédrale, ou une belle mosquée.

La dernière partie
Celle qui commence par
« La nuit s’ouvre le vide,
le cœur noir du cosmos »
est bien sûr la plus intense, l’acmé des sensations offertes ...

Lorsque vous verrez un tel ciel d’un noir absolu et malgré la présence de myriades d’étoiles vous ressentirez ce qu’est le vide absolu ...
Les étoiles semblent comme « refroidies » tellement le vide est prégnant... un contraste absolu avec le jour !
et l’homme est invité à la réflexion,

Ces sentiments sont sans aucun doute les plus forts de ceux que je conserve en mémoire de mes séjours en ces lieux.
Comme le notent Vincente et Jfmoods le jour, par la force de ses manifestations, est le limon, le chemin initiatique d’un retour sur soi même... dont l’urgence nous saisit la nuit tombée...

Ainsi le vivent les Touaregs lorsqu’ils chantent leurs poèmes ... en concert avec l’univers.

Castelmore