Merci à tous, le Comité éditorial pour avoir laissé passer ce poème et les lecteurs et commentateurs pour l’avoir lu et critiqué avec plus ou moins d’entrain, je l’espère, à l’ombre fraîche d’un tilleul odorant ( oui je sais, l’image est galvaudée, il ne manque plus que le rossignol !).

Avec ce titre » Eternel renouveau », fallait-il s’attendre à des scoops et des prises de tête ? Sans doute que non et telle n’était pas mon intention avec ce sonnet écrit au printemps à une saison où les vigueurs nouvelles, quoiqu’on dise, sont bien réelles, ( si, si, c’est ce que la nature et les poètes de toutes les époques répètent à l’envi !) et pas encore ramollies par la canicule, ( exceptionnelle cette année certes, mais il est vrai que le soleil, en été comme au printemps est souvent « chaud »).

Sur Oniris, au moindre relâchement, la déferlante, dont nul n’est à l’abri en EL, s’abats, les lecteurs n’hésitant pas à tremper leur plume dans le jus de citron et même le ….fiel.
Heureusement pour l’auteur dépité, l’acidité est quand même tempérée par quelques douceurs bienveillantes et bienvenues !!

MAIS TOUT EST TRES BIEN AINSI :
Chacun s’exprime et fait part de ses goûts et de ses couleurs, avec des arguments qui paraîtront « tirés par les cheveux « à l’auteur lorsqu’ils ne lui sont pas favorables. ( c’est humain et parfois le cas convenons-en !!!! ).
Il sera toujours temps de corriger en Ed les appréciations excessives et spontanées de EL, n’est-ce pas !!

Comme c’est l’habitude, je ferai de bonne grâce, un petit tour des commentaires reçus, par ordre d’entrée en scène :

Anje :
Soit, vous n’avez pas aimé et c’est votre plus grand droit comme je viens de le dire.
La prochaine fois j’espère trouver une meilleure inspiration dans des cahiers de CE2 si toutefois je ne redouble pas ! ( je rigole bien sûr !! Je suis déjà admis en CM1) !!!

Hananke, Polduro et Sympa :
Merci d’avoir apprécié ce poème et d’y avoir trouvé des vers à votre goût,
Je constate avec plaisir et une pointe d’ironie que le printemps vous, vous en connaissez les effets !

Corto et Ieni :
Vous n’avez pas aimé et vous expliquez pourquoi.
Je respecte vos jugements et ne peux que répéter ce que j’ai dit plus haut.
J’essaierai à l’avenir de retrouver le soupçon d’inspiration que vous avez eu la faiblesse de me reconnaitre jadis. Cette confidence me flatte.

Papipoète :
J’ai déjà remarqué que nous pouvions avoir des goûts très proches et votre commentaire bienveillant et un tantinet coquin le confirme et me va droit au cœur.
Merci.

PIZZICATO et Provencao :
Ben oui, il est tout aussi difficile d’éviter les banalités et les clichés dans les commentaires que dans les poésies. Cela vaut pour tous !
« Sous les peaux », j’y tiens car au printemps la sève circule sous toutes les peaux, végétales (écorce) ou animales (à moins d’être une statue de marbre).

BlaseSaintLuc :
Il est vrai que Ronsard et Du Bellay ne m’ont rien demandé, mais je leur ai emprunté quelques mots (roses, toison, voyage, raison, Ulysse etc….) Alors !
Et puis je vous confirme, je me donne encore le privilège de « m’enivrer au doux parfum des corsages » sans craindre sur ce point de me répéter !
Davide :
Votre appréciation me touche beaucoup et une fois encore je bois avec intérêt vos conseils en prosodie néo-classique que j’essaie d’appliquer, mais jusqu’ici en vain, puisque vous avez relevé beaucoup d’erreurs ! ( boutade d’impuissance de ma part vous l’aurez compris).
Merci pour votre commentaire mesuré et encourageant.

Senglar :
Votre compliment débridé et enthousiaste me convient tout à fait, ne changez rien.
Merci.

TheDreamer :
Merci pour votre critique sur la forme marotique du sonnet, mais pour en tirer mon profit, peut être pourriez-vous, vous étendre davantage sur les évidences inacceptables que vous y avez relevées, là ou d’autres ont trouvé que le néo-classique était respecté.
Merci pour votre contribution.


A tous
Faut-il qu’il fasse chaud pour prendre le temps de rédiger un commentaire aussi long et somme toute contenant tant de « banalitudes » sans originalité.
Mille excuses.
Merci à tous et sans rancune aucune.

Lebarde

Coucou Lebarde,

Merci pour ces retours.
Je ne vois aucune banalité dans ces propos bienveillants, et quand bien même, il ne fait pas toujours bon se prendre la tête.

Votre poème - que j'ai trouvé bien agréable à lire soit dit en passant - respecte bien le néo-classique.
Cela dit, les "e" muets non élidés à l'hémistiche sont vraiment disgracieux à la lecture car ils se doivent d'être prononcés.

Voyez plutôt :
"Ma mie comme UlyssE // faisons un beau voyage." me paraît moins joli à l'oreille que : "Comme Ulysse, ma mie // faisons un beau voyage." Ne trouvez-vous pas ?

Et s'il vous plaît, je n'ai pas relevé "beaucoup d'erreurs", juste "quelques petites choses" (qui ne sont pas des erreurs).

Mes amitiés,

Davide

Citation :

Bonsoir Lebarde
A l'avenir, je serai très vigilant au sujet de mes commentaires sur vos textes, afin d'éviter les " banalités et les clichés " ...

Bien cordialement
Pizzicato

Merci Robot vous faites remonter ma note !
C’est mon humour
Depuis le port de Centuri c’est super.
Merci
Lebarde

Merci Quéribus pour votre appréciation " tardive" mais qu'importe,je prends volontiers et pour vos commentaires "techniques" que j'essaierai de mettre en application.
merci
Lebarde