Merci a ceux qui ont selectionnés et permis la lecture de mon poème,
Poldutor : oui, c'est ça, une introspection zen

Daphlanote : tambour rugissant te gêne, en fait il y a le tambour et le fluide rugissant, je reconnais que ce n'est pas tout à fait bien formulé.

Gabrielle : merci pour votre appréciation.

Pouet : oui licou et joug rapelle notre condition d'animal humain et parfois le poids de la vie, le joug c'est aussi un clin d'oeil. En sanskrit joug se dit yoga avec l'idée de ce qui unit l'esprit et le corps.

Vincente : merci pour ton appréciation et je réfléchis à tes suggestions.

Marite : merci pour ton commentaire.

David : merci, j'apprécie ton commentaire très détaillé chose que j'ai un peu de mal à faire, je trouve que tu as en général des commentaires très justes.

Senglar : merci, j'imagine bien le marsipulami faire du yoga tout en rebondissant sur sa queue à ressort.

Pizzicato : merci, et hum hum sans tendre le bras, allons il faut que l'esprit soit capable de se détacher du poids du corps tout en restant maitre du corps... à méditer mais piano piano

Papipoete : merci pour ce commentaire qui ma habillé le visage d'un grand sourir.

Hersen : merci pour ta besace et je réfléchis à tes suggestions.

Éclaircie : un grand merci pour ton ressenti sur ce poème,

Stéphanie90, Merci pour l'appréciation et la suggestion, le pourquoi du point , j'avoue que je le sentais juste comme ça.

Natile : merci d'être venu me lire, pas de pb, l'appréciation sera peut-être à une autre occasion.

J'ai eu grand peur que tu rugisses à mes vieux fonds de besace. mais non !

:)))

Merci pour tes remerciements !

Citation :

dans ce cas, il est bien là.
Finalement, on ne peut se laisser aller à trop de laisser aller. Il faut donc y mettre un terme, un point final.


Merci pour votre retour et encore merci pour le partage.