Bonjour à tous,

Comme d'habitude, un grand merci au C.E. d'avoir accepté la publication de cette équation insoluble, avec comme inconnue la possibilité d’être aimé en retour.
Avoir peur de se déclarer n ignorant s’il existe un possible retour, que ce soit une question de timidité, d’âge, de sexe, de race, de religion ou que sais je encore une autre bonne ou mauvaise raison, aimer sans pouvoir se déclarer peut s’avérer être une équation Impossible à dissoudre, impossible à résoudre. Encore un grand merci à vous tous, commentateurs, mais aussi à tous ceux qui ont lu dans la discrétion ce poème.
Merci donc à

- Cristale : Je ne m’attendais pas à tant d’enthousiasme. Je sais que le chemin est encore long avant d’atteindre au moins la moitié de la qualité de tes écrits, mais je suis sincèrement touché à mon tour de ton retour (je dis « ton » retour puisqu’il est dit qu’on se tutoie, non?) Merci encore pour ce chaleureux encouragement, d’autant plus que le « charme » a agit en EL.
PS : Pour la technique, je m’applique, je m’applique 

- Gabrielle : Vous avez pu ressentir, comprendre la détresse du narrateur je vous en remercie. Merci aussi de m’accorder du « talent » dans l’écriture de ce texte.

- Corto : L’expression de ce texte n’est pas votre tasse de thé, mais cela ne vous a pas empêché de « bien » l’aimer, je vous en suis d’autant plus reconnaissant. Ne conservons donc que la dernière strophe. 

- Michel64 : Il arrive parfois que l’on soit tellement concentré dans un schéma de pensée, voir un calcul, que même l’évidence d’une erreur reste invisible. Prenons un exemple trivial, si on fait un calcul basé sur le postulat erroné que 1+1 font 3, le résultat sera évidemment faux mais le contrôle, restant basé sur le même postulat, donnera la même réponse. Pour voir son erreur, il faut donc prendre du recul et c’est ce que vous m’avez permis de faire quant au problème de cette césure mal placée. Merci donc, pour cette judicieuse remarque ainsi que pour votre appréciation élogieuse. Pour ce qui est du pourquoi clouer l’élan de ses émois… pour un tas de raisons que le narrateur pourrais éprouver, peur, culpabilité, manque de confiance en soi, le regard des autres qui verraient chez lui un sang boueux. Mais il n’y pas de raison, il s’agit plus d’un ressenti, d’un questionnement personnel du narrateur. Je ne suis pas sur d’être clair mais voila...

-Sympa : Un poème dont la lecture perturbée par une « vilaine césure » (explications chez Michel64) ne vous a pas empêché d’apprécier les beaux vers… Merci pour vos commentaires positifs.

-Papipoete : Ne soyez pas si humble car, en ce qui me concerne, vos commentaires sont très souvent, si pas toujours, de bon aloi, en termes artistiques comme en termes techniques de prosodie. Quant à l’humilité de votre plume croyez bien qu’elle est capable d’envolée aussi lyrique que n’importe qui d’autre sur cette plate-forme (et au-delà). Merci de votre attention et je terminerai en vous disant ; « Osez Monsieur, osez. » 


-Vincente : Vous aussi, à l’instar de Corto, dénoncez un style tenu façon Grand Siècle, qui met en valeur la dramaturgie mais trahi l’émotion. Je retiens qu’au final l’appréciation est positive et j’essayerai d’être moins sage à l’avenir

-Stephane :Je n’ai pas réussi à vous émouvoir et c’est dommage, une autre fois peut-être. Quoi qu’il en soit merci de votre passage.