Bonjour,

Je remercie l'équipe éditoriale d'Oniris d'avoir permis à ce poème d'exister ici.

J'ai cru longtemps qu'il n'y aurait qu'un seul commentaire délivré sous celui-ci et j'en ai presque rigolé car j'aurais peut-être pu détenir le record du plus petit nombre de commentaires jamais décerné sur un poème. Oui, cela aurait été risible et j'ai bien failli éclater de rire plusieurs fois mais je dois avouer qu'au final, je préfère tout de même obtenir trois commentaires au lieu d'un, pour un retour plus objectif des choses.

Ceci étant, je remercie "eskisse", "Robot" et "STEPHANIE90" pour avoir fait l'effort de s'attaquer à un texte tel que celui-ci et pour l'avoir commenté ensuite. Sans oublier de vous remercier pour votre appréciation somme toute généreuse.

J'ai conscience d'avoir un peu (beaucoup ?) heurté la sensibilité d'un certain nombre d'auteurs tant le style et le ton employé diffèrent de la plupart des poèmes postés ici. Mais je ne le regrette pas car j'écris vraiment ce que j'aime et ce poème a été une belle expérience.

eskisse : vous avez été la première (et longtemps la dernière) a avoir commenté et je vous décerne donc une mention spéciale.
Encore merci !

"Robot" : merci d'avoir eu la gentillesse de commenter et de voter sincèrement. Vous m'avez attribué la meilleure note et je vous en remercie. Au plaisir de vous lire...

"STEPHANIE90" : j'ai pris note de vos suggestions et vous remercie pour cela. Vous avez bien aimé dans l'ensemble et je vous renouvelle donc mes remerciements.

Bonne journée,

Stéphane

Coucou Stephane,

n'ayez pas de regret et riez tant que vous pouvez. C'est dans l'ensemble un très bon texte mais il est vrai que je pense que le sujet de la ville démoniaque a refroidi les commentateurs. Lol !

Voyez le bon coté des choses, vous n'avez que de bonnes appréciations... et vous ne vous perdrez pas dans la longueur pour vos remerciements.

Ah ben si, finalement, notre ami Hersen viens de nous rejoindre.
+ 1 courageuse ! Biz à Hersen, j'en profite.

Avec toute mon amitié poétique,

Stéphanie qui aime votre poésie périphérique

Biz à toi aussi Stéphanie !

Et à toi aussi Stéphane !

Et tu es pile poil dans les conversations ici dans l'air du temps : tu écris ce que tu veux.
Même si l'ambiance de ton poème n'est pas réjouissante, elle est très réussie car tellement prégnante !

à bientôt sur un autre texte ?

Merci Hersen, c'est toujours un plaisir de te croiser dans la ville Onirie

Ben là, pour le coup, on est vraiment en ville

Ce n'est que moi qui le dit et :

"Le ciel
La rue
La citadelle et ses remparts
Des bretelles aux rubans scellent
La furie des corps où s’irisent les nuits
Lorsque les âmes s’éparpillent
Le soir où les lumières luisent
Au sein des rues opacifiantes
Où draine l’encre au creux des verres
L’encre noire qui ensorcelle..."

> et surtout notre ami STEPHANE, heureux auteur de ces vers sur la citadelle d'Onirie, ces vers que j'aime vraiment beaucoup.

Tchin-tchin !!!

Citation :




L'idée de ne pas me perdre dans la longue épreuve des remerciements est tellement séduisante que je regrette peut-être déjà de m'y perdre un peu

Des regrets ? Bien au contraire... je continue à sourire et me retiens encore - parfois - de rire

Et merci d'aimer ma poésie périphérique, oui, c'est une belle formule !

Amitiés poétique,

Stéphane

Merci hersen, oui, à bientôt - je l'espère - sur un autre texte. Espérons que le prochain soit publié car c'est celui qui sort le plus des sentiers battus mais j'ose tout de même le proposer. J'en ai deux autres en projets : un dans la même veine mais traitant d'un sujet un petit peu différent avec tout de même quelques similitudes, et un autre traitant toujours de la ville mais beaucoup plus calme, bien que tout aussi pessimiste. Et viendra peut-être LE grand poème que je rêve d'écrire depuis près d'un an et auquel je devrais bientôt me frotter avant l'écriture d'une autre série de poèmes qui viendront clôturer le tout, nous verrons bien...

Merci d'être passée sur ce poème car je vous aime bien et j'aime bien ce que vous écrivez. D'ailleurs, la qualité d'un poème ne se définit pas à sa longueur, la preuve avec les vôtres

Au plaisir de te lire,

Stéphane

Citation :



Merci encore Stéphanie, tchin-tchin !

Stéphane, j'ai une question personnelle : tu dors quand ?

Avec tous ces projets...

Ne te tracasse jamais de si ça le fait ou pas pour oniris, propose, propose et propose encore.

La diversité ouvre l'esprit, toujours.

Et Stéphanie est pas mal gonflée de boire en suisse avec toi.

Tchin tchin.

Non mais.