Bonjour,

Merci aux commentateurs d'avoir pris le temps de s'arrêter sur cette modeste poésie. Je l'avais écrite il y a plus d'un an, et depuis, je l'avais remaniée. De nombreux éléments me semblaient encore imparfaits, malgré cela, je l'ai mise en pâture à vos regards affûtés!


Luz : merci pour les jolis mots ; je vais réfléchir pour enlever l'expression toute faite « droite comme un i » qui ne me satisfait pas totalement non plus.

Animal : merci d'avoir remis les point sur les i quant à mes utilisations encore maladroites de certaines expressions. Grâce à vous, je vais devoir me creuser les méninges pour trouver mieux.

Lebarde : je comprends le « un peu succinctement » ; j'ai parfois du mal à faire long et à raccourcir de trop (en tout cas, je m'épanche assez rarement à l'écrit).

Papipoète : merci de passer à chaque fois et de prendre le temps de commenter ! Vous avez trouvé un sens supplémentaire à sa Majesté, involontaire de ma part.

Corto : et oui, l'ambiance intimiste est quelque chose de voulu ici. Alléger, remanier : bien sûr, un poème est de toute façon toujours en chantier et évolutif.

Hananke : si un attrait existe dans ce texte, c'est que je commence à savoir transmettre une part même infime d'une émotion, chose qu'à mon avis, nous travaillons tous ici. Je suis d'accord avec vous que j'ai peut-être enlevé trop d'articles…

Robot : merci pour votre commentaire ; pour allonger un peu le texte, je pourrais m'inspirer de ce que vous dites « Souvenir d'une plage de sable mou difficile à arpenter », c'est évocateur et tellement vrai !

Merci Larivière pour ce très beau message qui fait du bien! Pour la fin du poème, j'ai espacé les trois derniers vers, car je souhaitais que le silence et la solitude, tout comme le temps eussent été soulignés. Il me paraît effectivement plus difficile qu'en musique d'intégrer précisément ces notions, tout du moins, cela doit passer par d'autres moyens, et j'y travaille!

Peaufiner votre poème vaut vraiment le coup. Il en manque bien peu pour qu'il soit parfait.

Mais ce peu est souvent le plus difficile à remanier sans tout bouleverser.