C’est toujours avec plaisir que je viens remercier tout le monde.

Vous tous, participants de cet élan incontrôlable. C’est ce que nous savons faire sans le savoir. On ne sait pas d’où ça nous vient, on ne sait pas pourquoi, mais l’élan est aussi vrai, aussi réel, que le fait que la Terre nous porte.

J’aime plein de choses dans ce que vous avez écrit :

Papipoète : estou bem, obrigada. ( Si, tu sais faire, mais tu ne le sais pas. Oublie plein de choses et ça viendra)

Stéphane : merci pour la plénitude. Ce poème bien sûr a été écrit avant que cette situation impensable ne nous tombe dessus, et peut-être serais-je moins capable de l’écrire en ce moment, mais la plénitude, engrangeons-la.

Davide : je n’ai pas grand-chose à ajouter, tant tu as bien appréhendé le propos. J’ai joué, bien sûr, sur Homérique, avec les deux sens que nous lui donnons : relatif à Homère / phénoménal.

Luz : La poésie est forcément ce qui compte le plus. Un texte peut être lu à différents moments et apporter de nouvelles visions.

Raoul : Merci, mine de rien, tu me donnes un bel élan pour continuer:)

BlaseSaintluc : Oui, effectivement, je ne suis pas la seule à m’être inspirée de ce poète hors du temps, mais que l’on panse en pensant, alors la poésie a fait sa révolution.

Hiraeth : Ton « rien que ça », oui, c’est vrai, me remet un peu les pendules à l’heure mais que veux-tu, emportée par mon élan…
Oui, c’est un élan bien mystérieux qui nous pousse. Et tu habilles si bien le poème de ton commentaire...

Cristale… que Cristale pour un peu en serait muette. Ce qui aurait été dommage, « j’aurais aimé être l’autrice de ces vers, mais je suis heureuse que ce soit toi... » c’est la fraternité poétique qui est fabuleuse !

Mokhtar : Oui, c’est bien cette force du matin et du soir, qui toujours revient, quoi que nous fassions, qui est homérique, dans le sens que nous attribuons aujourd’hui à cet adjectif, en plus de ce qui est relatif à Homère.
Si le poème te parle au travers de V. Hugo, je ne suis pas assez folle pour m’en plaindre.

Marité : l’instinct, oui, c’est ce qu’il ne faut pas perdre. Merci pour dire aussi que le libre impose du travail, de la réflexion, de l’oreille. Il faut être éclectique en poésie, pour atteindre la poésie.

Don : « La clarté d’un élan qui pousse le monde » et si elle était là, l’explication ? Oui, certainement elle est là. La part de mystère du monde, aussi, donne cet élan, je pense. Même si ça fait un peu taré de le dire par rapport au monde tel qu’il est actuellement, mais il y a une gratuité dans cet élan qui nous le fait perpétuer. Car seules les élans gratuits ont de la valeur, la valeur du mystère.

Vincente : ton com dit très bien que j’ai cherché à transcrire un apaisement dans ce mystère… laissons-le mystère…

Stéphanie : Oui, j’espère que j’ai raison, je crois que j’ai raison, et vous tous aussi qui êtes venus participer à cet élan.

Un très grand merci à tous.

@Assagui,

Merci pour ta lecture et commentaire de Homérique.

Et j'aime l'association de tes deux mots, émerveillement/respect.
Car c'est bien cela, ce que peut inspiré l'émerveillement.

@Jocelyn,

Tu dis en com

"L'homérique est dans le quotidien"

Si je savais quoi mettre en présentation de mes poèmes, je le ferais. Mais je ne sais jamais quoi dire, aucune idée ne me vient. Il me semble que tout est déjà dit dans le poème.

Mais tu viens de le faire à ma place pour ce poème.
Merci de ton intervention brillante.

καλό βράδυ Jocelyn
bonsoir Jocelyn