Salut à vous Oniriens de toutes plumes et de tout poils!

Merci au CE et aux correcteurs d'avoir permis la publication de ce pouème.

Pouème traitant pricipalement de la vacuité. Vacuité des opinions, des idées, des convictions. Vacuité de l'esprit, de la connaissance de soi...
Bref, va cuiter!


marite

Je comprends votre propos même si je ne parlerais pas forcément de vulgarité, quand je suis vulgaire, ça donne autre chose... :) Mais j'ai l'impression que vous avez su passer outre cette familiarité et finalement bien apprécier le pouème. Merci pour ce com en EL.

corto

Vous y avez vu la "contradiction entre les rêves et le réel", pour ma part je ne les ressens pas forcément contradictoires, l'un étant plutôt le prolongement de l'autre. Reste à savoir lequel... Merci pour ce com en EL.

Luz

Je prends les compliments. Content d'avoir pu te parler avec ce texte. Merci pour le com en EL.

papipoete

Vous me dites "de la poésie pour grands mais que les petits sauraient lire aussi". J'aime beaucoup cette vision de votre vision. Il m'est arrivé d'écrire de la poésie "pour enfant" pour les élèves de l'ULIS et ce n'est pas si facile qu'on pense. Merci à vous.

Stephane

Vous n'êtes pas sensible à mes écrits ce qui ne m'empêche nullement d'apprécier les vôtres. Merci d'être passé me livrer vos impressions.

Alcirion

Oui, parfois majuscules parfois non, parfois ponctuation parfois non: suis un fou moi! :)
Pour ce qui est du "travail", je suis plutôt un génie spontané, mais bien essayé quand même... Merci.

Davide

Il n'y a pas vraiment d'humour dans le texte. Au contraire même. La forme n'est certes pas vraiment "sérieuse", mais humoristique, non. Mais chacun peut l'appréhender comme il l'entend.
Sinon c'est marrant "Edward aux mains d'argent" est un des rares films que j'ai vu au cinoche, je devais avoir 8 ou 9 ans.
Sinon oui les "de" sont invisibles mais à lire quand même... Merci bien.

Vincente

Effectivement, j'ai voulu utiliser le "con" avec parcimonie...
Ton interprétation est intéressante, ta vision complètant ma "volonté". Je crois que le croire est à proscrire... Au plaisir, merci à toi.

Provencao

Vous me dites "une course de soi", oui je prends sans condition, d'ailleurs j'ai oublié ma monnaie sur le comptoir. Merci.

Cristale

Vous me dites: "blason impressionniste que je reconnais entre mille". J'enveloppe vos mots dans du papier de soie doré à l'or fin et les glisse délicatement dans ma besace en toile de jute. Merci.

oiselle

Heureux d'avoir pu faire vibrer vos cordes sensibles. Au plaisir et merci pour votre passage.

apierre

Oui les jeux de mollets sont un petit plaisir dont je ne me lasse même pas en rêvant... Merci bien.

emilia

Dresser des passerelles entre différents niveaux de langage permet peut-être d'entendre l'écho un peu différemment/ Merci à vous.

hersen

Je connais ton goût immodéré pour les infinitifs. Je ne sais pas si cela enlève de la "spontanéité" à la poésie en général, en tout cas cela peut lui donne run côté incantatoire ou didactique qui peut se révéler déplaisant. Merci.

eskisse

Je suis touché par tous ces qualificatifs élogieux, merci beaucoup.

Widjet

Content de te recroiser encore un peu par ici. Si tu en prends plus que tu n'en jettes, c'est que le plat n'était pas trop écoeurant. Merci.

HERLINE

Votre interprétation est parfaitement valable puisque c'est votre ressenti. Je dirais juste que les apparences ne sont ni vraies ni fausses, elles sont. Merci bien.

Ours

Heureux de croiser ce pseudo sous ce texte car c'était le surnom d'un (très) proche disparu récemment et dont le poème est plus ou moins l'écho de cette disparition. Pour le reste, il y a beaucoup de mes textes ici qui sont très "accessibles", enfin je crois, par exemple:
Jean Bobine :) Merci.

Hiraeth

Bien content d'avoir encore pu partager un bout de route sur les cimes simiesques... Merci.

STEPHANIE

Je prends avec plaisir ces compliments qui me touchent beaucoup. Merci.

sauvage

Vos réflexions sur la rythmique sont très pertinentes. Merci bien.


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Voilà, je suis très heureux de l'accueil que vous avez réservé à ce pouème très personnel, d'une certaine façon assez douloureux.
La dérision, l'ironie, peut-être le cynisme sont certainement des masques qui se fixent plus ou moins délicatement sur les rivages de mon faciès. Mais les coeurs sont de cire, le Temps malléable et l'Amour salvateur!

Bonjour Pouet,

Je précise que je n'ai pas été sensible à celui-ci car, en règle générale, j'aime bien ce que vous écrivez.

Merci en tout cas d'apprécier mes poèmes, ça fait toujours plaisir d'entendre ça :))

Au plaisir, donc (et en espérant pouvoir mieux apprécier votre prochain poème),

Stéphane

Merci à vous. Et merci de préciser. Je faisais aussi allusion à Des lignes et des chemins mais peut-être que j'oublie d'autres appréciations postives de votre part, c'est bien possible. Et soyez certain que j'entends parfaitement qu'on n'apprécie pas mes textes et que je ne m'en offusque nullement tant que ce n'est pas une histoire de "renvoi d'ascenseur" et/ou d'ego mal placé, ce qui n'est absolument pas votre cas. La critique négative est toujours intéressante quand elle est constructive.

Au plaisir!

Du coup je viens de relire "Des lignes et des chemins" et je suis passé de "Pas" à "Beaucoup". Je ne comprends pas pour quelle obscure raison j'ai pu vous attribuer cette note à l'époque (il faudra d'ailleurs que mon commentaire s'accorde avec la nouvelle note), car d'habitude quand je n'aime pas je n'aime pas, mais dans ce cas précis, soit je suis passé trop rapidement soit je n'avais rien compris à ce que je lisais (ce qui est peut-être encore plus grave). D'habitude je ne modifie jamais les notes que j'attribue mais là l'exception me paraît légitime. C'est vrai que je commente rarement vos poèmes - j'avoue avoir parfois du mal à commenter, comme je le disais il n'y a pas si longtemps sur un autre fil.

Je le redis pour être sûr que tout le monde comprenne bien : j'ai modifié ma note car à la relecture je l'ai vraiment beaucoup apprécié, et rien d'autre.

Oui, je note toujours réellement ce que je ressens (en tout cas au moment où je lis quelque chose, car visiblement cela peut changer avec le temps, mystérieusement), et n'attribue jamais de bonne note par complaisance, ni de mauvaise note par vengeance.

Merci Pouet de la compréhension dont vous faite preuve

Au plaisir,

Stéphane

Ah ben ça alors...

Du coup, je salue aussi votre "remise en question", même si vous comprenez bien que mon intervention n'avait pas pour but de vous faire changer d'appréciation. (Mais je sais que vous l'avez bien compris.)

Au plaisir de vous lire.

PS : et pour plus de clarté, la prochaine fois que j'aimerai beaucoup l'un de vos textes, je noterai "pas"!

Je confirme que votre intervention n'était pas dans le but de me faire changer d'avis, mais que j'ai changé d'avis de mon plein gré (je suis prêt à le jurer devant un tribunal ).

Je tiens d'ailleurs à préciser que personne ne me fera changer d'avis contre mon gré (sauf sous la torture).

PS : Je préfèrerais quand même que vous notiez "Beaucoup" si vous aimez beaucoup et "Pas" si vous n'aimez pas

Bonjour Pouet ! Si ma première impression à la lecture, à savoir que les mots : con, gourer et gueule ont perturbé la perception poétique que j'avais de ce texte, ce doit être une question de génération : enfants, nous ne prononcions ces mots qu'en cachette car nous étions vertement réprimandés si un adulte, même si ce n'était pas l'un de nos parents, l'entendait ... c'était pendant les années juste après la guerre, une éducation qui nous a formatés à vie je crois.

Bonjour Marite, oui j'entends très bien le rôle joué par l'éducation. Après, la vulgarité peut se loger dans les interstices les plus délicats et polissés..

Bien à vous.


Castelmore et Ascar:

merci à vous deux pour les commentaires sur ce pouème qui, si je comprends bien, vous aura inspiré des élans d'insigne optimisme!

Au plaisir.

Bonjour Plumette.

Vous me dites: "entre l'adolescence et la maturité", effectivement j'ai bien peur qu'à 38 balais, je n'ai pas encore quitté l'adolescence...

Merci bien!

Merci Pouet pour ces retours pas "cons" du tout !

Je voulais revenir sur ta réponse à mon commentaire, ce passage en particulier :

Citation :
Pour moi, c'est la démarche en elle-même qui est "dérisionnelle" (et non ce qui est dit), car le narrateur se regarde lui-même avec un détachement touchant, voguant entre le familier, presque vulgaire, "c'est con" et l'écriture ourlée d'images (très) poétiques.

On oublie souvent que l'humour peut-être terriblement sérieux et qu'il n'est pas forcément drôle. On le confond, à tort, avec le rire ou la bêtise ! Que nenni !