Merci à vous, chers organisateurs, évaluateurs, correcteurs, d’avoir bien voulu prendre le temps de lire puis de publier ce texte, et merci à vous également amis lecteurs, de l’avoir lu et commenté.

Gabrielle : Merci à vous pour votre commentaire, pour l’espoir que vous avez vu en ce texte. Même si l’espoir n’est pas nécessaire en état de contemplation puisque l’ego se tait et que la Vie ainsi peut apparaître dans toute sa réalité, pure et sans faille.

Corto : Merci à vous pour cette belle analyse de mon texte. Nous en sommes là de nos jours, à hanter nos écrans, portables, tablettes, ordinateurs, télés, miroirs aux pauvres alouettes que nous devenons, déboussolées, ayant perdu le sens de la vie, errent de reflets en reflets (j’avais oublié aussi celui dans les vitrines) pour retrouver qui nous sommes, mendiant la moindre miette de connaissance et de reconnaissance. La contemplation nous permet un juste retour vers la Réalité.

Lirian : Merci Lirian pour votre commentaire. Je pense que votre suggestion ( est devenu… devient) est intéressante mais bon, le rythme que j’avais en tête au moment de la rédaction quasi-automatique de ce texte en aurait sans doute pâti, donc…

Papipoete : Merci pour ce petit clin d’œil à Brassens. Je voyais plutôt une allégorie bouddhiste avec cette fleur du Lotus poussant dans la fange des marécages, mais bon. Mon but dans ce texte est de faire passer le message que la contemplation simple d’une fleur ou de toute autre chose, flamme de bougie, jets d’eau, musique, Lune (très bouddhiste également), en effaçant l’ego un certain laps de temps, peut sortir notre état d’esprit du cloaque des pensées.

Provencao : Merci à vous pour votre commentaire qui fait chaud au cœur. Je suis d’autant plus heureux que vous ayez ressenti cette paix de la contemplation quand l’esprit cesse d’errer de miroir en miroir et finit par s’oublier en percevant (en créant ?) la réalité d’une simple fleur.

Vincente : Merci pour votre commentaire très fort et creusant un lieu que je n’avais qu’à peine effleuré. Merci pour cette analyse impressionnante de ce texte qui n’en demandait sans doute pas tant.

Sauvage : Merci pour votre sympathique message. Je vais de ce pas chercher quelques enseignements sur Héraclite dont j’ignore tout.
Nous sommes bien sûr des petits anges venus, bon gré, mal gré, patauger sur cette terre recouverte de marécages de toutes sortes, à glisser sur ces reflets de glace, et il nous faut, en oubliant cette personnalité égotique qui nous aveugle, dégringoler un peu de notre piédestal, notre ridicule suffisance, pour retrouver la Réalité.

Encore un grand merci à tous. et