Bonjour
Merci au Comité Éditorial pour avoir décidé d'inclure dans le catalogue d'Oniris « Ce matin le printemps»
Merci à tout ceux qui ont œuvré  pour que ma poésie soit publiée après lecture...
Merci à ceux qui l’ont commenté.
Merci à ceux qui l'on lue.

Un merci spécial à Marimay pour ses remarques pertinentes et les corrections qui ont suivies.

MERCI
Gabrielle
pour votre commentaire qui pousse à l’optimisme.

Curwwood
pour vos commentaires encourageants. A propos du dernier vers que vous me signalez : 5/7, je pensais la découpe comme suit :

Mêl/ant/ leur/ beau/té/ aux// ri/che/sses/ des/ o/deurs.
La césure tombe au 6ème pieds, j’ai donc (ce me semble) 6/6. Mais n’étant pas vraiment fort en technique de versification, je serai intéressé par un supplément d’explications, ce qui me permettrait de progresser.

Anje
pour vos commentaires qui prouvent que vous avez lu avec attention ma poésie,
Malgré mes relectures, le « ou-a » m’a effectivement échappé... ainsi que « sans remords ».
il a échappé semble-t-il aux correcteurs...
« prémices » plutôt cette forme, car ici je pense ‘prélude’.

Ascar
pour vos poétiques considérations.

Lebarde
pour vos commentaires, il est vrai que j’adore mettre en scènes les petits animaux qui nous entourent.
Je ne prétends pas encore au classique qui est pour l’instant au dessus de mes « moyens » mais oui l’art de la poésie est très difficile.

Luz
pour votre appréciation, l’observation et la description des petites bêtes m’a toujours animé.

Papipoete
pour vos commentaires, il est vrai que sous nos latitudes, les saisons ont tendance à se mélanger, mais ma poésie n’avait pas pour but d’illustrer une année précise dans un lieu précis..
le hiatus est l’ennemi de mes poésie, ennemi que j’essaie de corriger sans y arriver toujours.


Davide
pour vos commentaires. A propos de vos remarques, rendez-vous à mes réponses à Anje et papipoete.


Myo
pour avoir trouver mon poème « tout en lumière et légèreté »

Miguel
grand merci pour vos commentaires même si votre comparaison (que je ne mérite pas) avec V. H. me fait plaisir, les commentateurs selon leur ressenti, vous disent :  « belle poésie, mais... » et c’est ce mais qui fait la différence et chez vous pas de ...mais, merci.

Bonjour Poldutor,

Oui, la lecture et la relecture, à voix basse, à voix haute, par soi-même, par autrui est un exercice qui, en principe, permet de déceler et corriger jusqu'à la moindre imperfection. Mais il reste souvent une petite rugosité que l'oeil, même aguerri, n'a pas repérée. Au-delà de la connaissance de la prosodie, c'est une leçon à retenir. Il m'arrive bien des fois d'avoir l'impression de connaître mon texte tellement je le lis et le relis mais au final, il reste encore un défaut qui s'était bien caché. Alors j'essaie de décortiquer, méthodiquement, comme je croyais faire et qu'on m'a redit ici : une lecture pour les syllabes, une lecture pour les rimes, une lecture pour les hiatus... Et un jour de repos entre ! (sourire)

Je me permets de reprendre la remarque de Curwwod concernant le dernier vers. Il a raison de dire qu'il est en 5/7 et non en 6/6. En effet, il n'est pas naturel de placer une césure entre l'auxiliaire et le nom et la pause se situe donc plus normalement ici avant le "aux". Le vers est donc :
Mé/lant/leur/beau/té//aux/ri/ches/ses/des/o/deurs. Vous devez connaître le traité de Sorgel qui précise bien en chapître 6 les règles de l'hémistiche et ses erreurs à ne pas commettre, en particulier au 3° quand il sépare l'article ou l'adjectif du nom. En lisant lentement ce vers à voix haute et forçant le trait de la pause, l'oreille se satisfait mieux de la césure après beauté qu'après aux. En tout cas la mienne et, apparemment, celle de Curwwod.

Merci pour votre retour et au plaisir de vous lire.
Anje

Bonjour Anje
Merci pour vos explications à propos de la césure, je m'aperçois que j'ai vraiment beaucoup à apprendre en matière de prosodie et que le chemin sera long ! Il est bon que des auteurs comme vous me remettent, avec courtoisie sur les rails du "correct".
Merci pour votre intervention.
Cordialement.
poldutor

Rassurez-vous Poldutor, j'use mes semelles sur le même chemin que vous et il va d'ailleurs me falloir passer chez le cordonnier pour réparer les souliers. Heureusement, le mollet est encore bon.

Bonne route !