Bonjour,

Un grand merci aux organisateurs, au CE, aux correcteurs pour avoir rendu ces Dunes visibles... Et merci aux lecteurs et aux commentateurs qui sont venus les parcourir.

ECLAIRCIE
Je suis heureuse que les parcours choisis ( travelling, personnification ) pour évoquer ces dunes vous aient plu. Merci

MYNDIE
Merci d'avoir été si sensible au pouvoir évocateur de ce texte et surtout aux assonances et allitérations. Merci.

QUERIBUS
Le paysage des Dunes est en effet un paysage qui m'est cher. Heureuse que vous en ayez apprécié les images. Merci.

PROVENCAO
Si ces "dunes vibrantes" et sensuelles vous ont charmé, je m'en réjouis. Merci

VINCENTE
J'aime bien votre expression de "lyrisme épuré", je suis hereuse si j'ai pu faire partager une émotion. Merci.

LEBARDE
Merci d'avoir trouvé ce poème délicat et d'être revenu sur vos pas pour contempler ces dunes.

POUET
J'ai en effet hésité à utiliser l'expression " contre vents et marées" ; je partage votre avis sur cette retombée de l'envolée. Mais je ne me suis malheureusement pas assez creusé la cervelle pour trouver plus adéquat. Merci.

LOUIS
Merci d'avoir posé vos mots et votre regard intense et éclairant sur ces dunes en les opposant notamment aux montagnes ou en les qualifiant de lieux sacré. . Je ne connaissais pas le poème de Verhaeren, et suis curieuse de découvrir cette version.
Je suis sensible à ce que vous saisissez et même révélez de ma démarche et de la vision "printanière" qui est ici présentée.

Au plaisir de vous lire.
Eskisse.

Merci Papipoète pour votre passage sur les Dunes ...

Merci beaucoup Davide pour ce com élogieux. J'aime bien l'idée que l'infini dorme dans nos coeurs....

Coucou eskisse,

"Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le cœur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers"

Baudelaire, Le Voyage

Je fais le rapprochement car les dunes semblent ne former qu'une mer de sable... infinie.

Merci Larivière pour votre ressenti sur ce poème. Suis ravie qu'il ait fait écho en vous sans que l'origine de cet écho ne soit identifiable. J'aime bien l'idée que l'on ne puisse savoir d'où vient ce qui nous émeut dans un texte. Peut-être que cela relève des profondeurs de nos êtres.

Merci Bossman d'être passé sur mes dunes. Certes, le rythme pourrait largement être retravaillé ; avec les phrases longues, je crois que j'ai voulu reproduire un peu de leur étendue ou un peu du champ du regard qui les parcourt.
Merci beaucoup pour votre lecture et votre commentaire.