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La mort du phoque vous remercie
Visiteur 
Amis de la poésie… bonjour !

Tout d’abord un grand Merci au Comité Editorial d’Oniris qui m’a signalé en aparté la présence d’un hiatus entre les deux premiers mots du 12ème vers : « Lui arrache le cœur avec ses dents de sabre. », ce qui rendait ce poème inéligible en « classique » comme je le pensais. Misère de moi ! Alors que « vingt fois sur le métier »…j’étais passé sur ledit… et que j’ai remplacé illico par « Lui dévore le cœur avec… ». C’est moins bien, forcément, mais « classique » oblige.
Merci aussi à vous tous, lecteurs et commentateurs et en particulier à : poldutor, Eclaircie, Lebarde, Angieblue, papipoete, Hiraeth, Davide et Miguel, l’amateur de côtelettes d’agneau grillées au thym à qui je conseillerais bien, si j’osais, un soupçon final de paprika. Mais sait-il, l’ami, que « le bouilli à la viande d’ours » n’est pas mal non plus, à condition, bien sûr, de savoir choisir le « multivarki –ou ku – enfin je ne sais plus, mais in-dis-pen-sa-ble à la réussite de ce mets dé-li-ci-eux. Et aussi, rien que pour toi, Miguel, qui à l’air d’avoir un faible pour cette petite bestiole qu’est l’hanneton, mais qui, celui-ci n’est pas de l’ami Totor :

LE HANNETON d’Antoine-Vincent Arnault

« Tu bourdonnes, n’es-tu pas libre ? »
Disait un écolier au hanneton fâché
D’avoir toujours un fil à la patte attaché.
Ainsi parlait Octave à ses sujets du Tibre.
Ainsi naguère encor j’entendais raisonner
D’honnêtes gens, qui tous n’étaient pas sur le trône.
La liberté pour eux, c’est un fil long d’une aune
Au bout duquel on laisse un peuple bourdonner. »
-------

Contribution du : 03/07/2020 09:33
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Re : La mort du phoque vous remercie
Visiteur 
Mais également pour vous tous, amis poètes, cette charmante "coccinelle" de Victor Hugo, témoin d'une mésaventure amoureuse, lors des 16 ans de l'auteur :

Elle me dit : Quelque chose
Me tourmente. Et j'aperçus
Son cou de neige, et, dessus,
Un petit insecte rose.

J'aurais dû, - mais, sage et fou,
A seize ans on est farouche, -
Voir le baiser sur sa bouche
Plus que l'insecte à son cou.

On eût dit un coquillage ;
Dos rose et taché de noir.
Les fauvettes pour nous voir
Se penchaient sur le feuillage.

Sa bouche fraîche était là ;
Je me courbai sur la belle,
Et je pris la coccinelle ;
Mais le baiser s'envola.

- Fils, apprends comme on me nomme,
Dit l'insecte du ciel bleu,
Les bêtes sont au bon Dieu,
Mais la bêtise est à l'homme.

Contribution du : 03/07/2020 09:45
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Re : La mort du phoque vous remercie
Visiteur 
@Cristale. "Les Hommes ne peuvent en dire autant, quand l'on sait leur cruauté gratuite". Tu as mille fois raison, n'est qu'à voir ce qu'il se passe dans certains abattoirs, la chasse et je ne parle pas du reste...Ah ! ne me parle pas de ces engeances, je préfère et de loin la compagnie des bêtes à celle des Hommes. En tout cas, un grand Merci pour ton commentaire bien sympa. Bonne journée à toi. Dream

Contribution du : 04/07/2020 10:03
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