Remerciements pour "  le concertiste "

Je remercie toute l’équipe besogneuse de ONIRIS, pour la parution de ce poème très ancien !

Genèse

Ma gérardine fut refusée une première fois en 2014 ; je remis l’ouvrage sur le métier, touchant et retouchant de long en large, et voici enfin l’occasion de vous la dévoiler !
Je dois faire l’aveu d’un péché, pour lequel je demande votre indulgence ? D’habitude, papipoète raconte sa vie et là il inventa tout, de toute pièce !
J’ai rêvé ( tout éveillé ) que j’assistais à un concert, salle Pleyel où un orchestre philharmonique donnait un spectacle, avec un premier violon particulièrement renommé. J’y ai mis tout mon cœur et mes recherches pour rendre le récit crédible…
Je n’ai jamais vu " en vrai " un tel spectacle, et bien qu’aimant entre autre la musique classique, je n’en suis nullement au fait… trouve cela beau, tout simplement.
J’ai cependant dans ma famille, un fameux organiste ( qui joua l’orgue de Notre Dame, peu de temps avant le drame ) que j’admire vivement ! Pour lui, j’écrivis un texte ( qu’il encadra ) proposé à ONIRIS mais refusé.

Modéré- détournement de publication


Pierrot

( j’aime beaucoup Gauthier Capuçon et les sœurs Berthollet )
Je voulus proposer ma gérardine en " classique ", cela semble si facile chez d’autres oniriens, et vlan ! Raté !

Mercis personnels

Myo ( beaucoup ) un travail minutieux ( oh que oui ! ) pour une lecture fluide. Étant vous-même violoniste, vous avez parfaitement entendu la musique de mes mots ; merci beaucoup

Hananke ( bien ) une gérardine pas " classique " ( oui je sais, à cause de lettres finales ) Bien des lignes vous déplurent, mais un peu de BON quand-même ! Un texte à re-travailler ? Ah non, j’ai fait tout mon possible ! M’ayant reconnu, vous m’avez pourtant lu, et point de PAS ; je vous en remercie !

Bel13ver ( bien ) pas " classique " OK ! Des passages très beaux mais un poème inégal. Certaines formules ne firent pas mouche ( normal, je n’ai pas assez puisé dans mon dictionnaire ! ) merci

Lebarde ( bien ) beau et langoureux, à l’atmosphère bien rendue. Non, cher poète, le vers 7 mesure bien 12 pieds ! Vous auriez pu vous enflammer ? Dommage… merci

Harvester ( un peu ) des passages difficiles à comprendre… ( ce que je comprend tout-à-fait ) Bruit du verbe bru/ir ; mais l’idée de camper un violoniste en concert est intéressante. Merci

Corto ( bien ) le premier vers vous plaît, mais les " quatre saisons ", ce n’est pas très original ; " les chignons qui affleurent " pas terrible… si, si les belles dames du premier rang ! Mais vous avez un peu rêvé. Merci

TheDreamer ( bien ) un beau sujet difficile à traiter ! Vivaldi fut aussi poète ( vous me l’apprenez ! ) mais mon émotion transparaît dans mes vers. Merci

poldutor ( beaucoup ) de jolis vers pour cette gérardine, qui n’est pas la forme la plus simple à manier ( je l’aime pourtant ) On est sous le charme de ce maestro, que l’auteur nous montre sous une plume très éclectique ! Merci beaucoup

Vincente ( bien ) le premier vers vous charme, alors que l’auteur moque le côté pompeux des élégantes du premier rang ! Agréable et divertissant, si ce n’est le timbre d’un STAINER qui n’a rien du crin-crin cajun ( j’en rigole ! ) merci

Provençao ( beaucoup ) des vers dont vous partagez mon émerveillement ! J’ai su dégager une émotion, qui ne peut que toucher par… " sa musique divine " . j’espère que vous ne m’en voulez pas pour ma " menterie " ? merci beaucoup

Davide ( bien ) joli gérardine sur le thème musical des " quatre saisons ". Les images, des cordes pleurant ; bru/it pendant l’entracte ; et cet ami de salon qui ronronne telle une âme câline, vous plurent. Mon poème tout comme le violon a une âme belle, aussi ; le sonnet de Vivaldi ( je ne connaissais pas )… je vous jure que je n’ai pas copié Zéphyr ! Merci

ANIMAL ( beaucoup ) une musique des mots qu’ici vous trouvez en nombre ! Des maladresses avec " moult " ( 1 syllabe ) " abouti/t " ( trouver une rime équivalente pour dire " intervient " // j’ai longtemps cherché ! Un moment de beauté où les bruits semblent feutrés… jusqu’à… Mesdames, Messieurs, voici le maestro ! Merci beaucoup

sympa ( beaucoup ) vous saluez le travail que représente cet ouvrage ( oui, ce n’est pas simple mais si passionnant ! ) Malgré le quatrain, qui semble un ton en-dessous, vous avez partagé avec plaisir l’émotion de me lire ! Merci beaucoup

ours ( beaucoup ) vous découvrez la gérardine, qui vous séduit ; on dirait un souffle qui cesse, expire avant le démarrage du spectacle… Belle façon d’illustrer cette scène musicale. Un bémol pour " moult "….je sais, je sais ! Merci beaucoup

Sadbutfun ( beaucoup ) bien aimé ce decrescendo, habile mais parfois risqué ? Était-ce avec la gérardine, le meilleur moyen de traiter le sujet ? - peut-être pas, mais avec le MAILLET, cette forme me plaît vraiment ! Vous avez bien aimé, là est le principal ! Merci beaucoup

Donaldo75 ( beaucoup ) bel hommage à la musique et ses interprètes ( là, un concertiste ) Mon émerveillement transparaît dans mes vers ( comme quoi, les rêves peuvent être sensés ! ) Le décor bien planté participe à la " mise sous verre d’une belle photo d’album " merci beaucoup

emilia ( beaucoup ) beau portrait d’un concertiste, de la part d’un auditeur passionné ( ne m’en voulez pas ? ) qui se regarde de tous les yeux, s’écoute de toutes les oreilles " Vous fondez pour l’image ( la tendre affection du maestro pour son violon ) qu’il berce… Un grand bravo à la fin du spectacle ! Merci beaucoup

Post-scriptum

Si un jour j’ai l’insigne chance de figurer dans l’assistance d’un concert, avec un violoniste berçant son violon , je songerai : tôt ou tard, les rêves deviennent réalité...

bonjour BernardG
Une remise au goût du jour de formes poétiques peu usitées ( je les apprécie ! ) comme la gérardine, pour dérouler le poème autour d'un orchestre et son premier violon ; il l'aime, il l'adore son Stainer qu'il semble bercer pour le faire chanter ! " dans un coin de mon coeur..." ce vers vous a touché comme nombre de lecteurs, alors que le " La si long " heurta de même que d'autres votre oreille. Finalement, un harmonieux poème. merci beaucoup

Bonjour Larivière
Bien que votre écriture soit à mille lieues de la mienne, vous êtes venu me lire sans vous étendre sur la technique ( que vous maîtrisez pourtant " sonnet du sonné " )
Je vous ai fait découvrir la " gérardine " , de laquelle je suis fan ( c'est vrai ! ) Je ne puis vérifier, mais peut-être que " je marche comme ça " fut une des premières sur ONIRIS ?
Ma construction vous apparait soignée ; le déroulé du spectacle est bien rendu ( entracte compris ) et ce concertiste " berçant son violon, qui ronronne comme une âme câline " vous a séduit ! merci beaucoup

bonjour Cristale
C'était au temps où l'on allait au concert, pour un spectacle à ravir yeux et oreilles fébriles ; voilà que papipoète nous en rapporte des images, que ses mots racontent avec bonheur !
Une poétesse venant à passer par là, se posa un instant, et conquise sembla offrir son épaule, pour y sentir ce Stainer doucement bercé...
Malgré quelques broutilles techniques, ma gérardine a su vous séduire ; soyez-en remerciée !

bonjour tundrol
Venu d'Angleterre, vous vous imprégnez de français, savourez la langue de Molière ( vos poèmes parus en font foi ), mais n'hésitez pas à venir promener votre regard sur les vers ( fort humbles ) de papipoète !
Ce concertiste semble au milieu d'un cercle, que la gérardine décrit en sa boucle, avec entre autres ce " La si long ".
Il règne dans la salle et auprès de l'orchestre et son Maestro, une osmose que je parviens à faire ressentir. merci de ce détour