Bonjour à tous,

merci au CE et aux correcteurs ayant permis la parution de ce texte.

J'écris de moins en moins sous cette forme dite "contemporaine", ce poème ou "histoire rimée" date de 2014.

J'avoue avoir un peu hésité à le proposer sur le site, et puis je crois que ce qui m'a décidé est un documentaire que j'ai vu récemment montrant des adolescents pétris de préjugés concernant l'autre, d'idées préconçues sur son prochain et pour tout dire de profonde ignorance confinant bien entendu à la bêtise: ici , le juif étant riche, le kidnapper rapportera des thunes...

Voilà, je ne pense pas avoir grand chose à ajouter à vos commentaires. Si, je crois qu'une question m'est posée au premier commentaire: "est-ce que je compte mes pieds pour écrire ce genre de texte", qui sous-entend peut-on écrire de la poésie sur des atrocités, ou pire s'y complaire si je comprends bien. Alors je ne compte jamais rien quand j'écris, mais je n'aurais pas trouvé cela choquant pour autant et ne connais pour ma part aucun sujet "tabou" en poésie, aucun.

Merci donc à Eclaircie, papipoete, dream, Vicente, Miguel, Corto, emilia, Davide, Provencao, Luz, Hiraeth, Atom, Myo, Ombhre, eskisse.

Merci Larivière pour le retour.

Comme je l'ai dit, j'écris de moins en moins dans ce style, mais ça reviendra sûrement!

Pouet,

Merci de ce retour et de ces informations.
Ce n'est pas la première fois (sur Oniris) que des atrocités écrites et présentées en nouvelle et, comme ici, en poésie, me gênent, me dérangent. J'ai tenté de prendre du recul. C'est impossible pour moi.
Je ne te soupçonne pas du tout de t'y complaire, je n'arrive pas à (m)imaginer que l'on puisse calmement, devant un écran, ou une feuille de papier décrire (de manière réaliste) de tels faits.
Tabou ? Le mot a plusieurs sens, donc oui, chez moi, la description minutieuse de l'atteinte à l'humain dans une œuvre imaginée est tabou.
Toujours me vient en mémoire ma prof d'histoire-géo du collège qui nous avait donné à voir des photos des camps de concentration, autour du sujet de la seconde guerre mondiale, en nous disant :
" regardez, si vous voulez, moi je ne peux pas."

Salut Eclaircie,

je pense comprendre ton point de vue sans le partager, j'avoue ne pas savoir qu'ajouter d'autre à ce que j'ai déjà dit.

A plus

Salut troupi, ça me fait plaisir de te recroiser un peu par ici où tu te fais trop rare...
Christian Bobin, je l'ai découvert que très récemment et j'ai particulièrement apprécié.
Merci pour ton commentaire et ton aparté.

Au plaisir