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Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
Je remercie en premier le CE d’avoir permis de publier ce petit poème ; puis les lecteurs et tous les autres qui l’ont commenté.

Les autres :

Tout d’abord, Socque, que je tiens à remercier et à féliciter vivement pour son ardeur, son courage et son abnégation à entretenir en l’alimentant "dès l’aurore aux doigts de rose " le feu poétique de ses commentaires, qui s’est mué, jour après jour, en une véritable pyromanie adjective. Sauf que pour moi, une poésie sans adjectifs, et qui plus est, sur la nature, c’est comme une femme sans bas, un oiseau sans plumes. Certes, je ne m’attendais pas à un béat encensement de sa part, car j’ai eu bien conscience lorsque j’ai confectionné –au feu de bois- ce court écrit que le 2ème quatrain était « expédié ». Que voulez-vous, dès que j’inclus dans mes vers l’espèce humaine, je sais d’avance qu’il va m’arriver des bricoles. Finalement, deux quatrains auraient largement suffit à décrire ce soir d’hiver n’est-il pas ? sans avoir à m’empêtrer dans le bourbier du 2ème... mais sans ôter un seul des adjectifs, bien évidemment. Sans compter que la flèche de son « un peu » pointée en l’air m’est allée droit au cœur. Que me vaut tant de mansuétude… je vous le demande un peu. Mais je ne juge pas, je ne juge pas… mieux, j’apprécie vivement « l’action du cerne blanc de la lune et surtout Las comme un cri de faim ».

Ah ! Lebarde, charmant ménestrel (je sais… je sais..) toujours aussi amoureux de la nature à ce que je vois. Oui, hâtons-nous de la contempler pendant qu’elle respire encore un peu.

Cher Hananque, un grand Merci pour rafale/pâle qui ne riment pas en classique… ça je l’ignorais jusqu’à ce que vous me l’appreniez. Merci vingt fois donc !

papipoete, délicieux, que dis-je, adorable poète, ce n’est pas tant votre « passionnément » que je salue, mais votre « comme c’est beau » d’emblée fait que je me réconcilie tout d’un coup avec la vie… Vos mots, comme l'agneau de la fable "me font pleurer de tendresse"…

Un grand Merci à vous aussi, Arsinor « J’apprécie que la première personne y soit absente ». Oui, et elle n’est pas près de s’y trouver car je n’aime pas trop parler de ma petite personne ni ne me regarder le nombril.

Inconnu 1 Quel plaisir vous me faites là avec votre remarque « souvent les Oniriens n’aiment pas l’accumulation d’adjectifs. Je ne suis pas d’accord, ce sont eux qui permettent de ressentir une ambiance ». Clap ! Clap ! Clap ! à vous.

Bellini… Bellini je vous salue bien bas pour vos explications judicieuses, rigoureuses et méticuleuses (tiens encore et encore des adjectifs !) et toujours à l’affût d’un détail, même le plus insignifiant quant à la prosodie classique. Blanc/blanche, et dire que je sors de chez Afflelou –vrai de vrai-, mais alors que je me plaignais d’y voir un peu flou, le Monsieur m’a assuré que j’y verrais parfaitement dans un mois, le temps de m’adapter à ma nouvelle monture. Et pendant que je vous tiens, je vous demanderais bien, très cher, si « la houille », à défaut de flamber à l’âtre mais dans l’âtre… (pour le coup je ne sais plus ce que je vous demanderais bien), ah ! oui, j’aimerais que vous m’expliquassiez si la/ou ne ferait pas un peu « hiatus » sur les bords, car je dois vous avouer que dans le doute, c’est un peu pour ça, entre autre, que j’ai demandé à participer en « contemporain ». De grâce, répondez-moi..
Ah ! oui, j’oubliais, tête en l’air que je suis, de vous remercier grandement pour votre délicate attention finale qui me donne du baume au cœur : « Quand on sait écrire de beaux vers comme vous le faites… ». Merci… Merci… Merci… c’est bon d’entendre des vérités (nan, je rigole !)
PS. Pour ce qui est de la baguette et de la casquette (on dit le béret d’habitude, non ?), vous avez oublié le camembert il me semble, ainsi que le principal … le kil de Kiravi.

Miguel, bien vu le coup pour « cette note de tristesse qui vient après le vin chaud dans l’âtre ». C’est bien pour cette raison que je l’avais rajoutée à ce 2ème satané quatrain… "Mais qu'allais-je faire dans cette galère ?" Merci beaucoup ! en tout cas.

Sympa, Heureux et un grand Merci de vous avoir conquis par au moins deux de mes quatrains. Et merci pour votre passage…

Encore un grand CLAP ! CLAP ! CLAP ! à vous tous. C’est fou tout ce qu’on peut apprendre sur ONIRIS…

Contribution du : 02/12/2020 18:00
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Re : Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
Bonsoir Dream et merci de votre retour.

Je précise que j'ai beaucoup aimé l'ensemble du poème avec une préférence pour le premier quatrain.

Bonne soirée.

Contribution du : 02/12/2020 18:57
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Re : Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
C'est le Loup qui pleure de tendresse car il entend de la gueule du Chien les mille avantages qu'il y a à être domestiqué.
Merci pour votre retour enlevé.

Contribution du : 02/12/2020 19:56
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Re : Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
Bonsoir sympa !

Oulala ! Je viens de m'atteler à la relecture de votre si gentil commentaire. Au secours AFFLELOU ! Vous avez aimé l'ensemble de ce petit poème, et en particulier le 1er quatrain. Ma foi, je trouve que c'est déjà pas si mal. Encore un grand Merci sympa !
Voici pour vous... qui le valez bien !

Contribution du : 02/12/2020 20:38
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Re : Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
Vous m'en voyez comblée.

Merci Dream

Contribution du : 02/12/2020 20:43
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Re : Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
Bonsoir Arsinor,

Aîe ! Aîe ! Aïe ! Après la vue, voici que c'est le neurone qui commence à débloquer. Oui, j'ai pensé à l'agneau (et le loup) car la tendresse, j'aime ça ! Vraiment, je mérite chiquenaude. Aussi, pour me faire pardonner de ce lamentable pas de clerc, voici cette sublimité de l'ami Jeannot :

LE LOUP ET LE CHIEN

Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
À se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
« Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, hères, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée ;
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. »
Le Loup reprit : « Que me faudra-t-il faire ?
– Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. »
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.

Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
« Qu'est-ce là ? lui dit-il. – Rien. – Quoi ? rien ? – Peu de chose.
– Mais encore ? – Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
– Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
– Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.

— Jean de La Fontaine, Fables de La Fontaine, Le Loup et le Chien, Livre I Fable V




Contribution du : 02/12/2020 21:02
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Re : Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
Bonsoir Cristale !

C'est vraiment gentil de votre part tous ces jolis mots que vous évoquez là à propos de ce soir d'hiver. Un grand Merci à vous et à bientôt de vous lire.

Contribution du : 02/12/2020 21:06
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Re : Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
Coucou dream,

D’abord merci pour votre bonne humeur, vous n’êtes pas de ceux qui me donnent envie de supprimer mon commentaire. Vous avez récolté plein de Beaucoup et un Passionnément, à vous d’évaluer en conscience la moyenne des avis. Sachez aussi que mon échelle de notation n’inclut pas de Passionnément, et que je ne lâche les Beaucoup que sous la torture.

- Oui, quand je lis un auteur qui a déjà publié en classique ou en néo-classique, j’aime bien chercher la petite bête, parce que souvent elle a servi de chausse-pied pour essayer d’enfiler un vers. Alors pourquoi je me gênerais quand l’auteur a essayé de me rouler dans la farine ? Je ne dis pas ça pour vous, mais la houille flambante à l’âtre fait partie de ces petites roublardises… :)

Et puis vous me demandez : « ah ! oui, j’aimerais que vous m’expliquassiez si la/ou ne ferait pas un peu « hiatus » sur les bords, car je dois vous avouer que dans le doute, c’est un peu pour ça, entre autre, que j’ai demandé à participer en « contemporain ». De grâce, répondez-moi… »

Cher dream, je vais vous répondre avec grand plaisir. La poésie classique est tellement simple qu’elle autorise certains hiatus phoniques et refuse les mêmes, pour une simple question d’orthographe. Alors oui, la/ou est un hiatus interdit alors que la/houille de votre poème est autorisé, bien que la liaison rende le même son.
Pourquoi ? Le hiatus entre deux mots est la confrontation de deux voyelles ou d’une voyelle et un H muet : donc la/ou par exemple n’est pas autorisé. Mais la/hou est la confrontation d’une voyelle (a) et d’un H aspiré, donc c’est autorisé. Par contre, « mensuel ou hebdomadaire » est un hiatus interdit, car cette fois le H de « hebdomadaire » est muet, et donc il faut réagir comme s’il n’existait pas : « mensuel ou ebdomadaire ». C’est pas beau, ça ? Ça vous donne pas envie de persévérer dans la catégorie classique ? Pourquoi croyez-vous que les auteurs de traités se soient étripés pendant des siècles ?

- Pour le doublon blanc/blanche, ça nous arrive à tous. Le conseil du Répétoscope est sérieux. Il vous permettra de vérifier vos répétitions.

- Oui, vous écrivez aussi de très beau vers ; il est rare que je fasse des compliments de complaisance.

- Oui, la baguette sous le bras, c’est cette sympathique suite qui m’est venue à l’esprit. Doit-on priver l’auteur d’une perception joviale de l’hiver ? :) Et puis, vous avez raison, casquette ne correspond pas à la tradition du béret. Je me rattrape :

« Les gens pressent le pas pour retourner chez eux
Sous les frimas du jour qui s’éteint bien trop vite ;
Baguette sous le bras et béret pour le mythe,
Ils boiront du vin chaud comme tous les taiseux »


Voilà, c’est un peu ça que je m’attendais à trouver après le ton des deux premiers vers. Les lecteurs sont de drôles d’oiseaux.

- Votre idée de Kiravi est super et rimera bien avec ravi. Vous voyez, vous avez de quoi allonger votre texte, un peu fainéant quand même :)

Encore merci pour votre humour. Ça fait plaisir de commenter des gens comme vous, comme ça me ferait plaisir que vous veniez me taquiner à votre tour sur mon Macho Love de vendredi.
Bellini

Contribution du : 02/12/2020 21:14
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Re : Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
Holà ! Bellini

Je vous réponds en vrac. Non mais ! Z’avez vu l’heure ? Bien sûr que je ne manquerai pas de commenter votre « macho love » de ce vendredi. Ne vous ai-je pas déjà taquiné (j’adore ce mot) sur votre foutraque "roulé dans l’herbe" ? Je vous entends déjà venir avec vos petites baskets en bronze massif… ça sent la Châtreuse de Charme à quinze mille cette histoire-là et je m’attends déjà au pire. Rien de trop excrémentiel, j’espère, car si j’aime les écrits et les joutes drolatiques, je reste un délicat, malgré tout.

Finalement, je trouve que nous sommes félins pour l’autre, car tous deux nous nous en tamponnons le coquillage et tout le reste… des pisse-froid et des ceusses qui dégainent à tout va leur aigreur et tout le reste. Rions, rions et restons dans la bonne humeur ! Non ! Non, je ne dis pas ça pour vous caresser dans le sens de la calvitie, ni pour que vous me léchiez les babouches… Pas de blague, hein ! Capri… c’est fini…

Bon j’y vois un peu plus clair à présent, puisque après vos explications bien nettes sur l’affaire des hiatus, je vois triple –à la mode de Caen bien sûr-. Encore un grand grand Merci ! Par contre, je n’ai jamais entendu parler du Conseil du Répétoscope. C’est sérieux ce truc-là ou vous vous moquez ? Il est trop tard pour que je me livre à des recherches… demain, je verrai !

Quant à votre proposition de quatrain avec le coup de pinard des taiseux ça me fait bien rigoler… Riche idée que voilà ! Mais encore une tite question : «vite et mythe » c’est une bonne rime classique ça ?

Oui, oui, moi aussi, j’avoue parfois me livrer à des Fourberies d’Escarpins pour rouler dans la farine en chevillant le cor qui me fait mal, la prosodie classique, sauf que les poéteux qu’en sont raides dingues… -et dont je tairai les noms par crainte des représailles- sont à l’affût. Non ! Non ! je ne dis pas ça pour vous, bien sûr !

Allez ! à tout bientôt (comme disent les Helvètes) il se fait bien tard… et encore merci pour tous vos précieux conseils et… Buona notte.



Contribution du : 03/12/2020 01:29
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Re : Remerciements pour soir d'hiver
Visiteur 
Citation :
Dream : « Bien sûr que je ne manquerai pas de commenter votre « macho love » de ce vendredi… ça sent la Châtreuse de Charme à quinze mille cette histoire-là et je m’attends déjà au pire. Rien de trop excrémentiel, j’espère, car si j’aime les écrits et les joutes drolatiques, je reste un délicat, malgré tout. »

Il n’y a pas plus délicat que moi.

Citation :
Dream : « Non ! Non, je ne dis pas ça pour vous caresser dans le sens de la calvitie »

Quoi ???? Moi qui vends trois kilos de cheveux par semaine à tous les implanteurs capillaires !!!

- Le Répétoscope est un petit programme simple et gratuit qui permet de repérer les répétitions. L’outil n’est pas entièrement fiable, puisqu’il lui faut une orthographe absolument identique. Ainsi il ne repère pas le doublon blanc/blanche, mais reste très efficace pour tous les mots invariables, comme les adverbes par exemple. Rien ne coûte de passer son texte au Répétoscope, ça prend dix secondes.
http://www.babelweb.be/babel.acgi$Spc_fr

Sinon, il existe un concurrent, Répétion Detector 2, qui propose une version gratuite que je n’ai pas testée et qui semble comparable au Répétoscope, mais surtout une version payante de 6€, après un mois d’essai gratuit, qui elle devrait couvrir un champ très étendu de mots connexes.
http://www.repetition-detector.com/?l=fr

- Oui, vite/mythe riment ensemble. En simplifiant, ce qui compte c’est qu’il y ait une exactitude phonétique et que la dernière lettre des mots qui riment soit la même, sachant qu’il est admis quelques équivalences comme X/S par exemple. Voir le Sorgel. C’est pour ça que rafale/pâle ne riment pas, car une des syllabes est brève (rafale) et l’autre longue (pâle). C’est je crois Théodore de Banville qui finit par imposer cette règle.

Cordialement
Bellini

Contribution du : 03/12/2020 10:50
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