D'abord un grand merci aux piliers de cette maison de la poésie que sont ses organiris.

Et merci à ceux qui sont entrés dans Le jardin secret, ceux qui sont restés aux abords et ceux qui s'y sont attardés.

@Lebarde : Très content de provoquer l'envie en espérant qu'elle vous poussera vers la combativité pour écrire encore mieux. Virtuose... je dirais plutôt laborieux qui est très flatté de votre admiration. Merci.

@Miguel : Vous avez raison de parler de la liberté de la poésie. Dans ses genres classiques ou modernes, elle dépasse les vérités ou les théories scientifiques pour emporter l'esprit vers une clarté sereine où l'âme peut se reposer.

@Eclaircie : Cristale répond à votre question, il s'agit de strophes nommées quintils parce qu'elle sont formées de cinq vers mais il ne s'agit pas d'une forme particulière. C'est vrai qu'on lit plus souvent des quatrains. Je suis particulièrement touché par votre "invitation au voyage". Qualifier mon poème par une citation de grand poète est véritablement un très beau cadeau. Chaleureusement merci.

@Cristale : J'aime bien cette allitération "la poésie vous possède" mais la prosodie m'obsède. J'ai entendu un commentaire télévisé qui disait "si zeureux" pour éviter le cruel hiatus que j'ai tenté d'expliquer à mon chat. Il m'a répondu de son propre hiatus "miaou" !
C'est un jardin où toutes les plumes peuvent se croiser, vous en trouverez l'adresse sans chercher.

@papipoete : J'avais écrit un poème un peu du même genre mais ce Lit défait n'avait pas été publié ici. Il n'y a donc pas de bons et de mauvais poètes, il y a surtout tout un tas de circonstances qui font que la mayonnaise prend ou pas. Merci pour vos encouragements en vous adressant les miens en retour avec le voeu de bientôt vous lire.

@Myo : On prend toujours le risque d'être traité de désuet, de vieillerie lorsqu'on emploie certains mots mais je n'aime pas forcément répondre à la mode. Merci des vôtres comme enchanteur ou vocabulaire soigné.

@Donaldo75 : Un tableau presque hypnotique ? Quel compliment ! Un grand grand merci, c'est vraiment trop. Et plus proche d'Auguste Renoir que de Joan Miro, oui, je me sens aussi... Pas dans mes talents mais à admirer leurs œuvres.

@Provencao : Non, pas tant de points d'exclamation ! Merci pour votre passion.

@Sympa : Le cadenas n'est pas fermé, la clé est restée dessus. Entrez donc respirer. Yoga, tai-chi et xi-qong sonnent plus modernes mais une clairière, çà reste encore très efficace.

@Malitorne : Les sylphes et les ondins n'allument pas votre rêve. Peut-être pour une autre fois si je croise quelque sorgina* par exemple. Merci de votre avis.
*pour les non-initiés, mot basque signifiant sorcière.

Pour finir, je dois ma reconnaissance à l'anonyme, qui ne connait rien aux rimes, à la prosodie, au libre, au classique mais qui a dessiné les images qui ont inspiré ma plume.

Auguste Renoir, c'est très sympa aussi.
En tout cas, ton poème, Anje, m'a donné envie de le relire encore une fois.

Merci Anjepour ces retours et bravo pour le succès de votre "jardin secret" qui a ravi de nombreux visiteurs.
Si comme vous le dites la prosodie vous obsède, finalement c'est elle qui se plie à votre désir du travail bien fait.
Votre chat semble avoir l'hiatus très musical, remarquez qu'il évite les "e" muets...il est malin.

Au plaisir de lire de nouvelles inspirations de votre plume.
Cristale

@Mokhtar : Votre passage pour participer au consensus me fait bien plaisir.
Je ne suis ni serrurier, ni Arsène Lupin pour connaître sur le bout des doigts le fonctionnement des serrures et j'avoue ignorer complètement le nom du trou dans le clé s'enfiche. Bien sûr, couramment, on met la clé dans la serrure qui est le mot désignant l'ensemble du mécanisme. Mais il ne semble pas impossible, dans le cas d'une serrure à pêne dormant, que la clé soit en contact direct avec lui et vienne s'insérer dans une de ses encoches. Il doit s'agir des anciennes serrures à clé ronde et pas des modernes à cylindre. En tout cas, il est sûr que le fouillot est le logement du carré de poignée, aucun rapport avec la clé. Je profite que la porte soit ouverte pour abandonner la technologie, mettre ma clé sous la porte et emporter mon rêve de clé dans ou sur le pêne en vous saluant d'un sourire.

C'est bien dommage Anje que vous n'ayez commenté Zugarramurdi. J'attache beaucoup d'importance aux avis des poètes. Merci de votre retour.

@RomainT : "..le poème semble cacher une maîtrise parfaite". Non, quand-même pas parfaite mais s'il est souvent reproché au classique de trop laisser transpirer la prosodie, c'est un grand compliment que de la dire cachée. Quant à voyager plus longtemps, c'est difficile car je n'étire pas souvent le train de mes poèmes pour laisser le lecteur rêver si mes vers l'y ont incité. Un grand merci à vous et au plaisir de découvrir vos textes.