Merci pour vos commentaires enrichissants et bienveillants sur ce que je n'ose plus appeler nouvelle, mais mon texte " Petites fenêtres". Pour une première publication, je suis comblée.
Vos analyses et ressentis sont très encourageants et m'incitent à poursuivre le partage de mes écrits. Vous pointez également les manques, redondances, longueurs, et vous en suis reconnaissante , seule je ne puis m'améliorer.
Merci aussi aux lecteurs qui n'ont laissé aucun commentaire.
Bien à vous
Aki

Bonjour AKIDELYS (c'est grec comme un yaourt ça non ?;))

Merci pour ces mercis.

De ce que vous nous avez montré, vous avez une très belle plume.

Félicitations pour ce premier texte publié.

Au plaisir de vous lire !

Merci de ton retour sur ce texte, Akidelys, et au plaisir de te relire !

Bonsoir Aki

je me permets d'utiliser le diminutif!

Merci pour ce retour sur commentaires.

Et Bravo pour ce premier texte publié qui dévoile un regard, une sensibilité et une plume qui a su trouver trouver un lectorat plus qu'encourageant.

A vous relire

Bonjour Akidelys,
J’ai ouvert les deux premières fenêtres, Autoportrait et Charbon. Pas de quoi vous laisser un commentaire complet, juste vous dire que vous avez un style superbe, un sens peu commun de l’univers du récit. Je n’ai ni le temps ni l’envie finalement de lire votre récit dans une continuité qui pourrait affaiblir sa richesse au fil des pages. C’est que je n’y devine pas d’intrigue particulière, alors je préfère prendre le temps de lire vos post-it au jour le jour, comme un almanach saisonnier.
Si je me permets de vous laisser quelques mots c’est que j’ai lu dans votre présentation que vous aviez peur, peur de la critique, peur de l'incompréhension, peur du refus, du jugement. Alors laissez-moi vous dire que vous n’avez à avoir peur de rien, et que même la peur pourrait changer de camp s’il prenait l’idée à quelques-uns de vos lecteurs de comparer leurs textes au vôtre.
J’ai découvert aujourd’hui une plume dont j’ai du mal à mesurer les ressources. Je vous souhaite sincèrement de trouver un accueil chaleureux ici, et peut-être dans un ailleurs qui détecte en vous une valeur à diffuser plus largement dans les rayons de la littérature.

Elée… Quel drôle de prénom. Je ne le connais qu’au fil de ces vers du Cimetière marin de Valéry :

Zénon ! Cruel Zénon ! Zénon d’Élée !
M’as-tu percé de cette flèche ailée
Qui vibre, vole, et qui ne vole pas !
Le son m’enfante et la flèche me tue !
Ah ! le soleil… Quelle ombre de tortue
Pour l’âme, Achille immobile à grands pas !

Dans lequel il évoque un des fameux paradoxes de Zénon d’Elée, le philosophe grec, celui d’Achille qui ne parviendra jamais à rattraper la tortue à quelques mètres devant lui.
A vous je vous souhaite de rattraper votre destin d’écrivaine, même si la tortue des éditeurs n’est pas facile non plus à rejoindre.
Bon courage.
Bellini