Ce poème aborde une tragédie difficile à concevoir, aussi merci d’avoir choisi de le publier, de l’avoir lu et commenté. La poésie peut aussi avoir un rôle non pas de dénonciation, car les faits datent de 30 ans, mais de mémoire.

Je me souviens encore du premier reportage sur ces orphelinats-mouroirs, du choc ressenti. Je crois qu’il ne faut pas fermer les yeux, car ce qui reste caché peut se perpétuer sans témoin. Ces faits une fois exposés à la lumière, plus personne ne put dire « je ne savais pas ». Et c’est ainsi que la situation évolua pour ces enfants, bien que lentement.

Heureusement beaucoup s’en sont sortis, heureusement il y a eu du personnel admirable de dévouement dans le dénuement de ces orphelinats.

Voici un lien-témoignage, à éviter pour les âmes sensibles bien que ce reportage ne soit pas le "pire" :

30 ans après

Un immense merci à fugace, Corto, inconnu1, papipoète, Arsinor, Castelmore, madawaza et Edgard pour avoir commenté ce texte dur qu’il me fallait écrire, étant concernée car à l'époque un cousin a adopté deux de ces enfants roumains.

Un grand merci également à Ombhre pour avoir lu et commenté ce texte malgré sa dureté.