Bonjour à toutes et tous,

Désolé de ne répondre à vos commentaires que maintenant et n'être que peu sur le site depuis plusieurs mois. Des problèmes de santé récurrents me turlupinent depuis janvier. C'est pourquoi je serai plus rapide dans mes réponses. Ne m'en veuillez pas.

Socque,

Merci. J'aime de temps à autre m'emparer d'un thème et développer ma pensée sur celui-ci. Je l'ai avec des poèmes intitulés : "Les envieux", "Les rêveurs"...

Ioledane,

Je ne supporte que difficilement la poésie linéaire. Il faut libérer et triturer les vers. C'est l'un de mes péchés mignons. Je m'amuse. Bien sûr, cette gymnastique est à double tranchant et peut fragiliser le poème si elle est mal utilisée. Il faut savoir jouer avec la musicalité et savoir quand s'arrêter. C'est dans ces cassures, ces interruptions que réside la musicalité. Sans elles, on entendrait qu'une musique terne et répétitive déroulant dans fin les mêmes harmonies. Ennuyeux ! "RARBRAB" je ne l'avais pas débusqué. Merci. De même pour les propositions de ponctuation.

Lebarde,

Merci. Avec le temps on finit par s'habituer au jeu sur le rythme.

Miguel,

Merci. Je parlerai plutôt de réalisme. Qui disait : "L'espoir est une vertu d'esclave ?" Je ne me souviens plus.

Virou 64,

Merci. Oui, réalisme et mélancolie.

Papipoete,

Merci. Les enjambements sont le grain de sel de la poésie.

Hananke,

Oui, briser à tout prix la monotonie.

Emilia,

Merci. Oui, mon travail sur le rythme n'est pas un découpage enfantin. Un poème sans celui-ci est à mon sens mal construit et inachevé. Il faut varier la forme des phrases. Une volonté stylistique ? Oh oui...

Lirian,

Merci.

Inconnu 1,

Merci.

Gil,

Pour le premier hémistiche, c'est vrai. À force d'être le nez sur la page, je louche. Merci pour les propositions de ponctuation.

Beaufond,

Il y a tant de façons (personnelles) d'aborder un thème. Merci pour vos propositions de ponctuation.

Louis,

Merci. Vous avez lu dans mes pensées. Oui, le mot "espoir" entamant le poème doit bien être pris isolément. Une mise en accusation. Une mise sur la sellette avant d'être jugé. Je ne voulais pas l'espérance. Personnifier l'espoir sous les traits d'un homme claudiquant me paraissait une évidence. La métaphore est venue sans boiter. Naturellement. Oui, oui le choix de la fleur n'est pas innocent et vous en expliquez fort bien le sens. Quand celle-ci se fane le vent petit à petit la dénude, ainsi que le temps le fait de l'espoir. Rien n'est innocent dans ma poésie.

Merci à toutes et tous.

Amicales pensées.

Salut TheDreamer,

Je viens de m'apercevoir que je n'avais pas commenté ton poème. Je m'y attelle derechef.



Donaldo

Salut Donaldo,

Je viens de te lire.

Merci.