Merci à mes 130 lecteurs (à la date d’aujourd’hui…)
et surtout à mes 13 commentateurs : c’est toujours un plaisir de prendre connaissance de votre ressenti, quel qu’il soit, et de vos remarques, toujours pertinentes et intéressantes.

Merci donc à vous Lebarde, EtienneNorvins, Donaldo75, Vero, Cyrill, Miguel, papipoete, Marite, inconnu1, Cristale, emilia, Myo et Virou64.

L’intérêt du poème réside essentiellement dans la manière dont est traité le sujet qui, lui, est plutôt « bateau » et j’appréhendais un peu vos réactions ; mais vos chaleureuses appréciations (attendrissant, élégiaque, mélodieux, doux, émouvant… et j'en passe) m’ont vite rassuré et même fait ronronner de plaisir…

Peu de remarques, cette fois-ci :
Cyrill a un peu regretté que je me sois étendu sur la description de l’automne et des regrets qu’il suscite (air connu) au détriment des éléments plus personnels qui apparaissent (seulement) dans les derniers vers ; je comprends mais quand j’ai écrit ce poème je ne voulais pas aller aussi loin, je souhaitais juste restituer l’atmosphère de cette saison en harmonie profonde avec cette période de ma vie…
Lebarde et Miguel se sont interrogés sur la forme poétique adoptée : il ne s’agit aucunement d’une forme fixe connue (encore moins reconnue), mais d’une disposition inspirée sur le moment par le thème ; je l’ai présentée en néo-classique car l’alternance M/F des rimes n’est pas respectée entre les quatrains et le tercet du refrain. Voilà l’explication, papipoete, et non pas une césure mal placée…

Encore merci à toutes et à tous et à bientôt ! (si le CE, que je remercie également, daigne sélectionner mon prochain poème...)