Très bonne idée socque de rapporter cette histoire dans la bouche d’un troubadour. Comment n’y ai-je pas pensé ? Je loue d’autant plus ta proposition que la phrase finale à moi aussi ne me plaisait pas, trop fade. Exemple type où je ne remercierais jamais assez les commentateurs d’Oniris de me souffler des améliorations !
Le troubadour terminera donc son histoire devant une assemblée de belles dames et damoiseaux, songeurs et horrifiés, avec une pirouette finale du genre « Aux dernières notes du luth s’envola une corneille, plus noire que la nuit, spectatrice discrète posée sur un rebord de fenêtre ».

J’adore introduire du latin dans mes nouvelles Cherbiacuespe, je trouve que ça donne un petit côté authentique. Par contre je ne suis pas toujours certain du sens exact, parfois je tire de véritables citations, d’autre fois c’est Google Traduction. J’imagine alors la tête des latinistes ! Merci de votre commentaire positif.

Entièrement d’accord sur le déséquilibre des parties de l’histoire Donaldo, je compte bien étoffer la seconde. J’étais contraint à une limitation de signes ce qui m’a considérablement bridé. Maintenant que le texte est parti batailler ailleurs je peux le reprendre à mon compte et lui donner plus d’ampleur. Merci de ta remarque pertinente.

Même explication précédente Corto, Châtiment est à l’origine un texte de concours soumis à de rigoureuses contraintes. D’où un final tronqué, à ma grande frustration et à la vôtre si je vous crois. Vos remarques à tous deux confirment en tout cas ce que je craignais et m’exhortent à reprendre la nouvelle. Je vous suis redevable pour ça.

Je ne sais pas si je suis digne d’un « passionnément » Papipoete mais je prends. Si je suis passionné c’est par le Moyen Âge, certainement les restes de mon enfance où châteaux, chevaliers et Excalibur me fascinaient. Au contraire de ce que l’on dit c’était une période riche et féconde, intéressante à étudier… et à raconter ! Merci grandement de votre commentaire.

Merci tardif Ombrhe pour votre passage sur ce texte. Depuis sa parution sur le site j'ai suivi vos bons conseils à tous et étoffé la fin du récit. Je mets souvent des premiers jets sur Oniris, j'attends les réactions et reprends l'histoire ensuite. D'où son importance pour moi...