Qu'est-ce que vous ne comprenez pas exactement, AnnaPanizzi ?
Vous voulez de la lumière, je peux vous en donner, si vous le souhaitez...

Pour le reste, vous croyez que ça peut intéresser quelqu'un que vous n'aimiez pas la vengeance et la mort ? (qui pourrait bien les aimer, d'ailleurs, en dehors des psychopathes ?) C'est un peu léger comme argumentaire, non ?
Mais répondez plutôt à la première question ; ça, ça peut être intéressant !
Et n'allez pas effacer votre appréciation, surtout ! ce n'est pas elle qui m'incommode, mais l'absence de motifs sérieux.

Comme je n'ai pas été élevée chez les sangliers, bonjour Antonin !

Entendons-nous bien, ce n'ai pas parce que je n'ai pas aimé votre poésie qu'elle n'est pas de qualité; d'autres que moi l'ont appréciée. Je n'ai uniquement écrit que mon ressenti et il est bien normal qu'il ne vous plaise pas.

Non, je n'ai pas compris les tournures, mais c'est certainement parce que je suis nulle en poésie ou un peu "légère" comme vous l'avez écrit. Par exemple : "Je sais le pavé qu'Elle touche". Je ne comprends pas le verbe savoir ni la majuscule à Elle. Et puis "la lame à vendanger", entre autres...

J'attends vos lumières

Anna

Citation :

C'est un peu l'histoire du cheval rare et cher non ? En fait, non. Mais si l'absence de motifs sérieux est bien matérialisée par les mots de l'appréciation et qu'ils vous incommodent ces vocables idoines à une conception grammaticale, à une communication écrite, alors l'appréciation vous incommode étant donné qu'elle ne prend corps que par le truchement de ces mots incommodants. Qu'effacer dès lors ?
À moins qu'il ne s'agisse de la "notation", dans ce cas oubliez mon canasson. Bon.

Sinon j'espère que nous bénéficierons aussi des commodités d'un retour de votre part. Non pas que cela m'incommoderait de ne point en avoir, simple question de diversification des curiosités.

Bien à vous.

Désolée pour l'affreux "ce n'ai pas." qui pique un peu les yeux mais les miens n'étaient pas encore totalement ouverts....

Anna

Citation :

Nous sentons peut-être le pâté ?!
Ce qui est incommodant, il faut bien l'avouer.

Antonin (puisque c'est votre pseudonyme à présent), il n'y a pas si longtemps, c'est vous qui n'appréciez pas un récit poétique de Raoul, vous devriez donc comprendre que les ressentis, comme les goûts et les couleurs, inutile d'en discuter...

Oui, Pouet, par "appréciation" j'entendais "notation". Pardon d'avoir provoqué l'égarement dans vos circonvolutions !
J'aurais seulement apprécié que la demoiselle argumente davantage, comme prévu par la Charte. Mais c'est peut-être moi qui l'ai mal lue, la Charte.

En tout cas, qu'il soit bien clair que je ne demande pas ici la suppression de l'une et (ou) de l'autre ; au contraire, je souhaiterais qu'elles restent bien en place.

Je reviendrai plus longuement sur ce texte et chacun des commentaires qu'il a reçus, Cyrill, merci de vous en inquiéter.
Mais pour l'heure, je me contenterai de tenter d'éclairer la lanterne de notre déjà chère Anna...
Les Gens du voyage ont fait de cet outil de jardin qu'est la serpette ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Serpette - voir aussi "serpette manouche") un ustensile de cuisine : elle leur sert à écorcher le hérisson par temps de vaches maigres. Et trouve très occasionnellement d'autres usages, comme ici.
« Elle », c'est le centre du sujet, l'objet de la vengeance : une parente proche du locuteur : sœur, fille, nièce que l'allocutaire a enlevée, emmenée au loin et jetée sur le pavé qu'elle bat (et donc « touche ») désormais dans le but de "lever le micheton" pour son compte.
« Je sais le pavé qu'Elle touche » : le locuteur sait, connaît le lieu où elle pratique (il a donc "logé" aussi l'allocutaire, son maquereau).
Merci, Anna, d'avoir permis ces premières précisions ; je reviendrai plus tard sur tout le reste, comme j'ai dit plus haut...

La Charte (je crois que ceci répond à votre questionnement, Dugenou : le problème n'est pas d'aimer ou pas, mais de dire pourquoi on aime ou pas, et précisément, ce que j'ai fait chez Raoul et Lariviere, il me semble). »

Merci pour vos explications, Antonin, c'est déjà plus clair ainsi !

Anna

PS : pourriez-vous ne pas m'appeler "la demoiselle", ce genre de sexisme sous-jacent m'agace un peu.

Sans porter de jugement sur ces éclairages, je confirme les dires au sujet de la SERPETTE, outil que j'ai personnellement vu porté par ces gens, tel stylo par clerc de notaire.
Quand au bal monté, à la guinguette, des bagarres éclataient entre deux camps différents dont un " manouche ", on pouvait terrifié, voir briller l'acier de cet instrument... fallait pas traîner dans les parages !
C'était il y a longtemps ; aujourd'hui peut-être se mesure-t-on avec un Iphone ?